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NEW DELHI: La Commission nationale pour la protection des droits de l’enfant lancera dimanche un portail Web pour le suivi et la surveillance numériques des enfants qui se trouvent dans des foyers pour enfants et doivent être rapatriés dans un autre pays, état ou district. Le portail – « GHAR – Go Home and Re-Unite » sera une plateforme d’information sur les enfants de chaque district pour faciliter le processus de leur rapatriement, si nécessaire.
Le lancement du portail, qui coïncide avec la « Journée mondiale des enfants », verra également la publication d’un protocole détaillé pour « la restauration et le rapatriement des enfants ». Le portail permettra le transfert numérique des dossiers des enfants aux autorités concernées.
Dans un communiqué, le ministère de la femme et le développement de l’enfant dit qu’on a vu que de nombreux enfants, qui ont été amenés devant le Commissions de justice pour mineurs et le Comités de protection de l’enfance, se sont avérés appartenir à un autre endroit mais il a été difficile de les rapatrier en raison de l’absence d’informations sur leur lieu d’origine auprès des autorités. Les difficultés rencontrées lors du rapatriement étaient principalement dues au manque d’échange d’informations.
« En publiant le protocole de rapatriement et de restauration, un effort est fait pour éliminer les défis auxquels sont confrontées les autorités et renvoyer le maximum d’enfants dans leur lieu d’origine avec leurs familles/parents », a déclaré le ministère. La NCPCR voit le protocole comme une étape pour réduire considérablement le nombre d’enfants qui languissent dans l’enfance Établissements de soins (CCI).
Un comité interne sera constitué pour tenir des réunions trimestrielles avec le NCPCR afin de discuter du processus de rapatriement des enfants téléchargés sur le portail et d’interagir avec les enfants dont le rapatriement s’avère difficile pour diverses raisons.
Une liste des programmes gouvernementaux sera fournie afin qu’au moment de la restauration, les CWC puissent lier l’enfant aux programmes d’aide à la famille.
Tout en se concentrant sur le rapatriement, le protocole met également l’accent sur la volonté de l’enfant. Selon les responsables, le protocole stipule que lorsqu’un enfant exprime son refus d’être restitué à sa famille, le CWC interagira avec l’enfant pour découvrir les raisons et les enregistrer. Aucun enfant ne sera contraint de retourner dans sa famille.
Le lancement du portail, qui coïncide avec la « Journée mondiale des enfants », verra également la publication d’un protocole détaillé pour « la restauration et le rapatriement des enfants ». Le portail permettra le transfert numérique des dossiers des enfants aux autorités concernées.
Dans un communiqué, le ministère de la femme et le développement de l’enfant dit qu’on a vu que de nombreux enfants, qui ont été amenés devant le Commissions de justice pour mineurs et le Comités de protection de l’enfance, se sont avérés appartenir à un autre endroit mais il a été difficile de les rapatrier en raison de l’absence d’informations sur leur lieu d’origine auprès des autorités. Les difficultés rencontrées lors du rapatriement étaient principalement dues au manque d’échange d’informations.
« En publiant le protocole de rapatriement et de restauration, un effort est fait pour éliminer les défis auxquels sont confrontées les autorités et renvoyer le maximum d’enfants dans leur lieu d’origine avec leurs familles/parents », a déclaré le ministère. La NCPCR voit le protocole comme une étape pour réduire considérablement le nombre d’enfants qui languissent dans l’enfance Établissements de soins (CCI).
Un comité interne sera constitué pour tenir des réunions trimestrielles avec le NCPCR afin de discuter du processus de rapatriement des enfants téléchargés sur le portail et d’interagir avec les enfants dont le rapatriement s’avère difficile pour diverses raisons.
Une liste des programmes gouvernementaux sera fournie afin qu’au moment de la restauration, les CWC puissent lier l’enfant aux programmes d’aide à la famille.
Tout en se concentrant sur le rapatriement, le protocole met également l’accent sur la volonté de l’enfant. Selon les responsables, le protocole stipule que lorsqu’un enfant exprime son refus d’être restitué à sa famille, le CWC interagira avec l’enfant pour découvrir les raisons et les enregistrer. Aucun enfant ne sera contraint de retourner dans sa famille.
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