Attaque à l’arme blanche dans une école en France : un enseignant décède après avoir été agressé par un élève près de Biarritz

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Un enseignant d’une école secondaire privée de la ville française de Saint-Jean-de-Luz près de Biarritz a été poignardé à mort par un élève mercredi alors qu’il enseignait une classe.

« Je peux confirmer qu’il y a eu un coup de couteau et que la victime vient de mourir », a déclaré à l’AFP le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier.

L’auteur présumé de l’attaque, âgé de 16 ans, a été interpellé et placé en garde à vue.

La victime était un professeur d’espagnol de 52 ans.

Les faits se sont déroulés à l’école catholique Saint-Thomas d’Aquin à Saint-Jean-de-Luz, à une vingtaine de kilomètres au sud de Biarritz près de la frontière espagnole, a indiqué la préfecture dans un communiqué.

A midi, les élèves ont été progressivement autorisés à quitter l’enceinte de l’école après avoir été maintenus à l’intérieur des salles de classe pendant près de deux heures.

Selon le site d’information basque Actu.fr, qui a révélé l’affaire, l’enseignante était en arrêt cardiorespiratoire à l’arrivée des secours mais ils n’ont pas pu la réanimer.

Selon le journal Sud Ouest, l’enseignant a été agressé alors qu’il donnait un cours à une classe d’élèves de deuxième année. L’agresseur aurait fait irruption dans la pièce avec un couteau et l’aurait violemment agressée.

C’est la première fois qu’un enseignant est tué dans l’exercice de ses fonctions en France depuis l’assassinat de Samuel Paty à l’automne 2020 dans le Val-d’Oise.

Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a indiqué que le ministre de l’Education nationale, Pap Ndiaye, se rendait sur les lieux. Il devait tenir une conférence de presse à 16 heures CET, selon le ministère.

« Je suis très ému du décès aujourd’hui d’une enseignante du lycée Saint-Thomas-d’Aquin à Saint-Jean-de-Luz. Mes pensées vont à sa famille, ses collègues et ses élèves. » Ndiaye a tweeté.

Les médias locaux ont également rapporté que l’étudiant souffrait peut-être de problèmes de santé mentale. Ils ont dit qu’à ce stade de l’enquête, rien n’indiquait que l’incident était lié au terrorisme.



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