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Une lettre signée par près de 60 associations caritatives, cabinets d’avocats et organisations sera envoyée au ministre de l’Intérieur appelant à la création d’un système de visa de type ukrainien pour les Palestiniens coincés à Gaza qui ont de la famille au Royaume-Uni.
La lettre, signée par le Conseil pour les Réfugiés, Care4Calais et la Fondation Helen Bamber, affirme que « les routes d’immigration existantes sont insuffisantes et ne fonctionnent pas » et décrit comment un projet familial à Gaza « permettrait aux Palestiniens de Gaza de réunir les membres de leur famille immédiate et élargie en la Grande-Bretagne ».
Plus de 30 000 personnes ont été tuées à Gaza depuis l’attaque du 7 octobre contre des civils israéliens, au cours de laquelle 1 200 personnes ont été tuées et environ 250 personnes prises en otage par des militants du Hamas.
La lettre adressée au ministre de l’Intérieur, James Cleverly, sera envoyée mardi. Il appelle le ministère de l’Intérieur à créer de toute urgence un programme familial à Gaza « pour protéger la vie humaine et le droit à l’unité familiale jusqu’à ce que les Palestiniens puissent rentrer en toute sécurité », d’autant plus que les craintes grandissent d’une attaque terrestre israélienne imminente à Rafah.
Le ministère de l’Intérieur a déclaré qu’il n’envisageait pas d’établir une route distincte permettant aux Palestiniens de venir au Royaume-Uni.
La semaine dernière, le premier ministre écossais, Humza Yousaf, a soutenu la campagne Gaza Families Reunited appelant à un projet de regroupement familial.
La lettre, dont les signataires incluent les cabinets d’avocats Birnberg Peirce et Duncan Lewis, indique que les Palestiniens éligibles n’ont pas pu demander de visa de regroupement familial en raison de l’obligation du ministère de l’Intérieur d’enregistrer des données biométriques, y compris des empreintes digitales.
Bien que le ministère de l’Intérieur offre la possibilité de différer l’exigence de données biométriques, la lettre indique que la plupart de ces demandes ont été rejetées et que deux personnes ont été tuées à Gaza en attendant une décision.
La lettre dit : « Les Palestiniens de Gaza sont donc pris au piège : le gouvernement britannique exige qu’ils enregistrent leurs données biométriques, mais il leur refuse un moyen viable de le faire… C’est dans ce contexte que les familles palestiniennes du Royaume-Uni ont appelé à un projet familial à Gaza parallèlement à un cessez-le-feu permanent et immédiat.
Le refus du ministre de l’Intérieur de prendre une décision sur les demandes de regroupement de trois familles coincées à Gaza, en raison de leur incapacité à fournir des données biométriques, a été jugé illégal et violait leurs droits en vertu de l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, dans un tribunal supérieur début mars.
Des centaines de familles palestiniennes au Royaume-Uni ont eu recours à la collecte de dizaines de milliers de livres sterling via des collectes de fonds pour faciliter l’évacuation de leurs familles par l’intermédiaire d’une entreprise privée en Égypte.
Depuis l’attentat d’octobre, 55 000 dons ont été effectués et 430 fonds mis en place au Royaume-Uni mentionnant « évacuer » ou « évacuation » en lien avec la crise à Gaza, selon des chiffres exclusifs partagés au Guardian par GoFundMe.
Une pétition appelant à un système de visa familial palestinien a été signée jusqu’à présent par plus de 54 000 personnes. Il faut 100 000 signatures pour pouvoir être débattu au Parlement.
Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a déclaré : « Nous travaillons 24 heures sur 24 pour faire sortir de Gaza les ressortissants britanniques qui souhaitent quitter Gaza. Nous avons une équipe sur le terrain au Caire et au poste-frontière de Rafah qui fournit une assistance consulaire. Toutes les personnes à charge de citoyens britanniques qui ont besoin d’un visa peuvent en demander un.