Customize this title in french Barbie: La critique de l’album – une maison de rêve de la royauté pop se fait belle | Pop et rock

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PLe perpétuel Peter Pan Mark Ronson d’op a réuni cette maison de poupée fastueuse de la royauté pop pour la bande originale du plus grand blockbuster de cet été, co-écrivant lui-même cinq titres et en produisant une poignée d’autres. Considéré simplement comme une mixtape d’ensemble, il brille comme un kaléidoscope dans 20 nuances de corail. Mais le film qui l’accompagne donne l’impression qu’il s’efforce de vivre sa vérité en tant que comédie musicale à part entière, et par conséquent, quelques-uns des contributeurs vedettes de la bande originale – Sam Smith, Tame Impala, Haim – n’arrivent pas à décider s’ils servent les dieux de la pop ou du récit. Pourtant, Ronson touche la gloire avec le numéro de 11 heures I’m Just Ken, lançant le himbo à hauteur corrigée de Ryan Gosling dans un effondrement masculin complet.

Pour toute la touche Midas qu’il expose sur Dance the Night de Dua Lipa, Ronson, l’auteur-compositeur, manque d’une pincée de camp sucré pour un travail comme celui-ci. Heureusement, cet ingrédient est amplement prodigué ailleurs : dans les BPM bipants de PinkPantheress et Ava Max, le régiment de K-pop glorieusement artificiel Fifty Fifty, et l’impitoyable marchand de tubes Charli XCX qui ceinture son bop Speed ​​Drive irrésistiblement idiot.

Puis, juste au moment où cela commence à ressembler à une orgie dans une confiserie, Billie Eilish arrive avec un soulagement tragique bien nécessaire. Pour quoi ai-je été fait ? prête une sincérité feutrée au sort de Barbie, et c’est sur cette mélodie que Greta Gerwig s’appuie à plusieurs reprises pour donner un cœur à son film synthétique.

Comme le film qu’il décore, l’album s’efforce d’atteindre un équilibre subtil entre l’innocence féminine et l’ironie consciente. Nicki Minaj a depuis longtemps maîtrisé cette contradiction : mi-nuisette hyper-féminine, mi-mangeuse d’hommes grossière. Il n’est donc pas surprenant que Barbie World, la chanson qu’elle partage avec son protégé Ice Spice, soit 109 secondes de pur bonheur plastique. Comme une grande partie de la bande originale, elle pétille de saleté sucrée et sucrée, simultanément classée R et adaptée aux enfants.

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