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NC’est le moment idéal pour mieux comprendre Israël, et Michael Winterbottom est peut-être le cinéaste le mieux placé pour nous aider dans cette compréhension. Son nouveau thriller romantique intelligent et captivant se déroule à la fin des années 1930 et au début des années 1940, parmi les jeunes brillants de la Palestine mandataire, et comme plusieurs de ses films précédents, il mélange de manière inventive réalité et fiction pour raconter une histoire vraie sur la vie quotidienne en temps de guerre. zone.
Shoshana Borochov (une charismatique Irina Starshenbaum) est la figure réelle qui se lance dans la haute société de Tel Aviv en cette époque passionnante d’autodétermination juive et de rêves utopiques. Elle passe ses journées à débattre passionnément de politique dans les cafés des quais ou à esquiver les bombes et les balles du groupe militant sioniste Irgun. Ses nuits sont réservées à mener une dangereuse histoire d’amour avec un officier du renseignement britannique, Tom Wilkin (Douglas Booth).
Dans le climat médiatique et politique actuel, l’absence totale de voix palestiniennes dans le film est flagrante, mais ce n’est pas la faute de la narration de Winterbottom. Shoshana définit clairement son propre champ d’action, donnant un aperçu précieux des divergences d’opinion au sein du mouvement sioniste de l’époque, tout en soulignant également le rôle central d’un troisième acteur dans cette histoire lourde et sanglante : le colonialisme britannique.