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La clarté et l’immédiateté sont les caractéristiques du compositeur danois Carl Nielsen (1865-1931), remarque faite par Fabio Luisi dans les notes de Les symphonies (Deutsche Grammophon, 3CDs), dans lequel il dirige le Orchestre Symphonique National Danois. Écrites tout au long de sa vie créative, les six symphonies de Nielsen semblent d’abord simples, mais enfreignent toutes les règles et errent dans les terrains les plus étranges. Le premier est économique, ne faisant qu’insinuer ce qui pourrait suivre. Quatre des six ont des noms : le n° 2, « Les quatre tempéraments », a un troisième mouvement puissamment mélancolique, un contraste saisissant avec l’extraversion essentielle des autres. Le n° 3, « Sinfonia espansiva », avec son ouverture en coup de fouet et sa valse manège enivrante, est parmi ses plus joués. Le n° 4, « L’Inextinguible », peut-être son meilleur, écrit pendant la première guerre mondiale, est plus sombre, maussade, puissant.
L’expérimental No 5, en deux mouvements, embrasse l’impact de la guerre et d’une crise dans la vie privée de Nielsen. Le n° 6, « Sinfonia semplice », voit un dos épuré, brut et exposé. Ces performances, enregistrées au Koncertsalen de Copenhague, sont suffisamment passionnantes pour vous transformer en un accro de Nielsen (il n’a jamais vraiment eu l’attention qu’il mérite), interprétées par les Danois et Luisi avec zeste, esprit et liberté agitée.
Consultez également Concerto pour violon de Nielsen joué par James Ehnes et le Bergen Philharmonic dirigé par Edward Gardner et jumelé avec « The Inextinguishable », sorti cette semaine sur Chandos. Une fois qu’on a pris goût à cette musique, il est difficile de résister.
Avec son titre audacieux, Musique joyeuse pour orchestre (Delphian), le compositeur britannique Alex Paxton (né en 1990) apporte à nos oreilles une joie colorée et bouclée. Les titres des morceaux – Love Kittens, Od Ody Pink’d, Strawberry – donnent une idée de la douce énergie et de l’humour frénétique de la musique. Sur cet album pour Dreammusics Orchestra and Ensemble, Paxton est aussi « tromboniste improvisateur » et chef d’orchestre. C’est jazzy et bruyant et étrangement sérieux.