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Les prix de l’immobilier au Royaume-Uni ont chuté par rapport à l’année dernière, pour la première fois depuis 2012, selon les données officielles.
Les prix de l’immobilier britannique ont connu leur première baisse annuelle depuis 2012 en septembre tandis que les loyers ont bondi le mois dernier, soulignant la faiblesse du marché immobilier, selon les données officielles de l’ONS.
Les prix de l’immobilier ont diminué de 0,1% sur l’année jusqu’en septembre, a indiqué l’Office national des statistiques (ONS), soit la première baisse annuelle depuis avril 2012, après une hausse de 0,8% en août.
Les prix à Londres ont baissé de 1,1%.
Le prix moyen de l’immobilier au Royaume-Uni était de 291 000 £ (334 079 €) en septembre 2023.
Le marché immobilier britannique, qui a explosé pendant la pandémie de COVID-19, a été frappé par des coûts d’emprunt plus élevés alors que la Banque d’Angleterre lutte contre le taux d’inflation le plus élevé parmi les grandes économies avancées.
Les prêteurs hypothécaires Halifax et Nationwide ont tous deux signalé que les prix de l’immobilier avaient continué de baisser en termes annuels en octobre, bien que les prix aient légèrement augmenté sur une base mensuelle.
Les prix des locations montent en flèche
L’indicateur des loyers privés de l’ONS a augmenté de 6,1 % au cours des 12 mois précédant octobre, soit la plus forte augmentation annuelle depuis le début de la collecte de données en 2016 et contre 5,7 % en septembre.
Des chiffres distincts du ministère de la Justice ont montré la semaine dernière que le nombre de demandes d’expulsion sans faute en Angleterre a atteint son plus haut niveau depuis plus de sept ans.
Les demandes d’expulsion sans faute, qui permettent aux propriétaires de mettre fin à leur location sans donner de raison spécifique et de saisir le tribunal lorsque les locataires refusent de partir volontairement, ont bondi de 38 % au cours des trois mois précédant septembre par rapport à la même période de l’année dernière.
Alors que les expulsions sans faute ont été interdites pendant la pandémie, le projet de loi sur la réforme des locataires, une législation visant à imposer une interdiction permanente, a été confronté à des retards constants.