Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsTIl y a trois ans, en mai, alors que le bois résonnait du chant des oiseaux, j’ai photographié un vieux frêne poussant au bord de Horner Water. C’était une souche avec deux fourches cassées, mais son tronc recouvert de mousse était ferme et aux racines épaisses, attirant la terre vers lui. De nouvelles branches, de la largeur d’un bras d’enfant, poussaient du fût et agitaient des doigts verts.Je l’ai recherché pendant les vacances de Noël, lorsque le bois était grisonné au milieu de l’hiver et que le seul bruit était le bruit sourd et régulier d’un rocher se balançant au fond du ruisseau tumultueux.La souche de frêne en mai 2021. Photographie : Sara HudstonAu début, je ne l’ai pas trouvé. Il y avait le chêne lierre, le buisson bas de mûres, le sous-étage d’aubépine et de noisetier dépouillé de la gaze printanière dont je me souvenais. Le frêne ne pouvait sûrement pas être ce modeste arbre mort au bord de la clairière ? Il semblait tellement diminué, refluant de lui-même dans le sol.Un bon tiers du tronc s’était effondré sur le sol où il gisait, doux comme une éponge. De minuscules taches oranges de champignons à tête d’épingle brillaient contre l’écorce noircie comme une pincée de pépins de sorbet. L’arbre était fendu là où les années s’étaient écoulées.Le creux à l’intérieur du frêne fendu, ondulé comme des cheveux ou de l’eau. Photographie : Sara HudstonLa chute avait exposé son tronc creux, qui était ondulé à l’intérieur comme des cheveux, ou comme l’eau qui grognait et ricanait à quelques mètres de là. Les branches les plus récentes étaient mortes elles aussi, leur vigueur étouffée par la pourriture en dessous.Je m’éloignai en soulevant des coracles de feuilles mouillées. Quelque chose de brillant a attiré mon attention : une grosse perle couleur de confiture d’abricot soudée à une feuille. C’était une galle de marbre de chêne, formée par des larves du Andricus kollari guêpe, une espèce méditerranéenne. Ces insectes ont été introduits au Royaume-Uni au 19ème siècle parce que leurs galles ont une teneur particulièrement élevée en tanins, utiles dans le processus de tannage du cuir.Le culot rappelait que ces bois, désormais si tranquilles, étaient autrefois un lieu de travail industriel. Ils produisaient de l’écorce pour la fabrication du cuir et du charbon de bois pour fondre le minerai de fer extrait des mines voisines. Le bruit du broyeur à marteaux aurait résonné dans la combe avec les voix de dizaines de personnes qui vivaient ici. Le journal du pays est sur Twitter à @gdncountrydiary
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