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je Je retourne dans les années 1980 avec pour mission de trouver une ferme de mes années de formation. Là-bas, j’ai fréquenté une école d’équitation à petit prix, ce qui a fait de ma « ferme de tapis » une réalité. C’était à Whitchurch-on-Thames, sur la rive opposée de la Tamise à mon village d’enfance, de l’autre côté d’un magnifique pont à péage en fer peint en blanc qui coûtait deux centimes à traverser à pied.
Avec un parfum d’automne de plus en plus intense dans l’air, nous commençons le long du Hartslock Bridleway, une partie du chemin moderne de la Tamise et de l’ancienne route des chevaux de bât Tuddingway, en direction des ports intérieurs de Wallingford, Goring et Crowmarsh. Une grande partie de la vue est désormais bloquée par une clôture de 8 pieds de haut autour du domaine de Coombe Park.
Le sentier pénètre dans le bois sur une falaise au dessus de la rivière. De chaque côté se trouvent de nombreux panneaux criards « Privé – Tenir à l’écart » qui ont été griffonnés. Nous ne sommes qu’à un grand domaine du lieu de la dernière grande réunion du groupe de campagne Right to Roam.
Nous atteignons la fameuse « pente glissante » localement. Après une série d’accidents, la municipalité a retiré les marches et la main courante pourries en 2011, sans les remplacer, rendant cette partie d’un sentier national inutilisable pour tous. La craie humide constitue une surface dangereuse. Grâce à une campagne soutenue d’Eric Hartley, un champion local de l’accès, les marches ont été remplacées. Aujourd’hui âgé de 90 ans, Eric est un héros local, et ce sont désormais « les marches Hartley ».
Nous gravissons Hartslock Hill sous un soleil chaud, au-dessus de la large Tamise, en serpentant entre les collines arrondies de Goring Gap qui séparent les Berkshire Downs des Chilterns. Il semble y avoir une lueur rubis derrière le vert de tout, intensifiée dans les poches, et apparemment portée par les couleurs des milans royaux (feuille de hêtre, saule et châtaignier) et des buses (tanin de chêne, sycomore).
En descendant jusqu’à la piste de charrettes d’Old Reading, la liberté rappelée de Beech Wood est maintenant un mélange à la largeur des épaules, flanqué d’une clôture en châtaignier. Là où elle s’est effondrée, nous marchons les uns derrière les autres, comme entre les coques d’un navire naufragé. Puis soudain, voilà la ferme. Cachée désormais par des conifères de 40 ans, c’est la houle en dos de baleine de l’ancien toit de grange dont je me souviens, et du grenier à foin, où nous avons déjeuné au-dessus des poneys mangeant le leur. Il y a l’ancienne porte des champs en métal, avec son rouleau de fioritures aplati. Avec tout cela s’ajoute un sentiment de confort mutuel : celui d’être à l’abri des tempêtes. Tous les poneys que j’ai conduits à travers cela reviennent au petit galop, fouillant dans mes poches à la recherche de sucre parmi des tuppences collantes, pour le péage du retour.