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La chaîne de télévision et fondatrice de Silver Line, Esther Rantzen, a déclaré qu’elle avait envisagé l’option de l’aide médicale à mourir si son traitement en cours contre le cancer du poumon n’améliorait pas son état, ajoutant qu’elle avait rejoint l’organisation suisse Dignitas, qui propose le suicide médicalement assisté. Nous examinons ici les politiques d’autres pays.
Canada
Les médecins sont autorisés à prescrire des médicaments à administrer eux-mêmes et ils ont pu de les administrer depuis 2021 à ceux qui demandent à mourir et souffrent d’un état de santé grave et irrémédiable. L’interdiction de l’aide médicale à mourir a été libéralisée après une décision de la Cour suprême de 2015 selon laquelle interdire l’aide d’un médecin pour mettre fin à la vie portait atteinte au droit constitutionnel à la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne qui avait besoin d’une telle aide.
Pays-Bas
La loi de 2001 sur l’interruption de la vie sur demande et l’aide au suicide autorise les médecins à prescrire des médicaments à administrer eux-mêmes et à à administrer lorsqu’il peut être démontré que la personne concernée vit des souffrances insupportables et fait le choix éclairé de mourir. La personne concernée doit être âgée d’au moins 12 ans et l’autorisation parentale est requise pour les personnes âgées de 12 à 16 ans.
Suisse
Le Code pénal suisse de 1942 permettait aux adultes de contribuer au suicide d’autrui à condition que le motif de cette action ne soit pas « égoïste ». Les médecins sont autorisés à prescrire des médicaments à administrer eux-mêmes et à administrer. Les organisations proposant du suicide assisté proposent des services dans le cadre de certaines réglementations depuis 1985. Le suicide assisté est licite quel que soit l’état de la personne qui en fait la demande.
Allemagne
Les législateurs ont du mal à s’entendre sur une nouvelle législation après une décision de la Cour constitutionnelle fédérale de 2020 selon laquelle l’interdiction du suicide assisté violait le droit des citoyens de déterminer les circonstances de leur décès en limitant leur capacité à demander l’aide d’un tiers.
NOUS
L’aide médicale à mourir pour les adultes est légale dans 11 des 52 États. À Washington DC, la Death With Dignity Act 2008 autorise les médecins à prescrire des médicaments à administrer eux-mêmes. Une loi a été adoptée cette année pour permettre à davantage de types de prestataires de soins de santé dans l’État d’approuver les demandes d’aide médicale à mourir et d’autoriser les médicaments à être envoyés par courrier aux patients au lieu d’être collectés en personne.
Australie
À Victoria, en Australie occidentale, en Tasmanie, en Australie méridionale, dans le Queensland et en Nouvelle-Galles du Sud, les médecins peuvent prescrire des médicaments aux adultes pour qu’ils s’auto-administrent et, dans les cas où une personne est physiquement incapable de s’auto-administrer, administrer les médicaments. L’aide à mourir reste illégale dans le Territoire du Nord et dans le Territoire de la capitale australienne (ACT). Un projet de loi visant à légaliser l’aide à mourir volontaire dans l’ACT a été présenté à l’Assemblée législative en octobre.
Belgique
Depuis 20 ans, en vertu de la loi belge, les patients peuvent bénéficier de l’aide médicale à mourir s’ils souffrent d’une maladie incurable et s’ils subissent des souffrances constantes et intolérables qui ne peuvent être soulagées. Contrairement à de nombreux autres pays dotés de systèmes juridiques libéraux, l’euthanasie des personnes qui ne sont pas en phase terminale, comme celles souffrant de troubles psychiatriques ou de démence, est également légale. Depuis 2014, il n’y a aucune restriction d’âge ; l’autorisation parentale est requise pour les moins de 18 ans.
France
Cette année, le président Emmanuel Macron a chargé le gouvernement d’examiner si l’euthanasie ou l’aide à mourir devraient être autorisées en France. La loi, en vigueur depuis 2016, autorise le personnel médical à placer sous sédation permanente une personne proche de la mort et souffrant de douleurs intolérables, mais ne va pas jusqu’à l’autoriser à administrer ou à fournir une substance mortelle.
Japon
Selon le code pénal japonais, la sollicitation au suicide (l’acte de se suicider intentionnellement), l’aide au suicide, le meurtre commandé et l’homicide consensuel sont illégaux. Aucune loi ni directive officielle ne régit l’aide médicale à mourir volontaire.