Customize this title in french Les images et vidéos pénibles peuvent nuire à notre santé mentale. Comment rester informé sans être traumatisé ? | Diane Jeune

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsTLe conflit en cours en Israël et à Gaza a une fois de plus mis au premier plan les sombres réalités de la guerre et ses conséquences sur des civils innocents. Alors que nous sommes inondés d’images et d’histoires de destruction, de souffrance et de perte, il est naturel de ressentir un profond sentiment de tristesse, d’empathie, d’impuissance et, bien sûr, de colère et de consternation face à ce dont nous sommes témoins. Beaucoup ont de plus en plus de mal à trouver un équilibre entre leur désir de rester informé et le fardeau émotionnel que cette crise peut avoir. Malheureusement, cela peut entraîner un traumatisme secondaire.Le traumatisme secondaire, également connu sous le nom de traumatisme vicariant, est un phénomène dans lequel des individus ressentent des symptômes de traumatisme après avoir été témoins ou entendus parler d’événements traumatisants survenus à d’autres, même s’ils ne sont pas directement impliqués. Dans le contexte de la crise Israël-Gaza, les traumatismes secondaires peuvent se manifester par des sentiments de chagrin et de tristesse extrême, d’anxiété et de dépression, d’impuissance et même par des symptômes physiques comme des maux de tête ou de ventre.Pour ceux qui tentent de rester informés, les images et vidéos pénibles peuvent nuire à leur bien-être mental et émotionnel. La frontière entre être un citoyen du monde informé et empathique et s’exposer à un traumatisme secondaire peut être assez mince, et beaucoup d’entre nous ont du mal à se détourner des images qui défilent sur nos écrans. Nous sommes dans un état d’incrédulité.Alors, comment pouvez-vous naviguer sur ce terrain difficile tout en restant informé sans succomber à un traumatisme secondaire ou indirect ? Voici quelques stratégies :1. Pratiquez l’auto-compassionReconnaissez que se sentir affecté par la souffrance des autres est un signe d’empathie et non de faiblesse. Faites preuve d’auto-compassion et reconnaissez vos sentiments sans jugement. N’oubliez pas qu’il est normal de prendre du recul et de donner la priorité à votre propre bien-être. Vous pouvez éteindre vos écrans ; faites un pas vers la lumière du soleil; partagez vos sentiments et vos pensées avec vos amis et votre famille. Se connecter avec d’autres personnes qui partagent vos préoccupations peut procurer un sentiment de solidarité et de soutien émotionnel.2. Fixez des limites à la consommation d’informationsS’il est important de rester informé des événements mondiaux, il est tout aussi essentiel de fixer des limites à votre consommation d’informations. C’est crucial. Désignez des moments précis dans la journée pour vous tenir au courant des derniers développements, puis éteignez-vous. Évitez de consulter constamment les alertes d’actualité ou de vous engager dans des conversations en cours et pénibles. Cela aidera à prévenir la surcharge émotionnelle.3. Sélectionnez des sources fiables pour rester informéChoisissez des sources d’information fiables et réputées pour vos informations. Ces médias présentent souvent l’actualité d’une manière plus équilibrée et factuelle, ce qui peut contribuer à réduire l’impact émotionnel des images graphiques ou du sensationnalisme. Demandez à vos amis et à votre famille de confiance où ils obtiennent leurs informations. Cela pourrait ouvrir une nouvelle voie à une information plus équilibrée.4. Limiter l’exposition au contenu graphiqueÉvitez de vous exposer à des images ou à des histoires trop graphiques. Sur les réseaux sociaux, où le contenu graphique peut circuler rapidement, envisagez de désactiver ou de ne plus suivre les comptes qui partagent fréquemment des images ou des histoires pénibles. De nombreuses plateformes vous permettent également d’activer des avertissements ou des filtres de contenu. Cela vous permet de reprendre votre pouvoir pour décider de ce que vous écoutez.ignorer la promotion de la newsletter précédenteInscrivez-vous pour Cinq bonnes lecturesChaque semaine, nos rédacteurs sélectionnent cinq des lectures les plus intéressantes, divertissantes et réfléchies publiées par Guardian Australia et nos collègues internationaux. Inscrivez-vous pour le recevoir dans votre boîte mail tous les samedis matins », »newsletterId »: »cinq-grandes-lectures », »successDescription »: »Chaque semaine, nos rédacteurs sélectionnent cinq des lectures les plus intéressantes, divertissantes et réfléchies publiées par Guardian Australia et nos collègues internationaux. Inscrivez-vous pour le recevoir dans votre boîte de réception tous les samedis matins »} » config= » »renderingTarget »: »Web », »darkModeAvailable »:false »>Avis de confidentialité: Les newsletters peuvent contenir des informations sur des organismes de bienfaisance, des publicités en ligne et du contenu financé par des tiers. Pour plus d’informations, consultez notre Politique de confidentialité. Nous utilisons Google reCaptcha pour protéger notre site Web et la politique de confidentialité et les conditions d’utilisation de Google s’appliquent.après la promotion de la newsletter5. Distraire et détoxifierPour de nombreuses personnes, il sera difficile de vaquer à leurs occupations quotidiennes en sachant ce qui se passe dans d’autres régions du monde. Il est important de participer à des activités qui vous aident à vous détendre et à vous éloigner du cycle de l’actualité. Faites de l’exercice, passez du temps avec vos proches, sortez et profitez de la nature. Ces activités peuvent fournir une désintoxication émotionnelle indispensable. Et éteignez votre téléphone – faites une pause dans les informations et commentaires incessants que nous parcourons.6. Demandez l’aide d’un professionnelIl n’est pas rare de se sentir impuissant et dépassé dans des moments comme celui-ci, mais si vous constatez qu’un traumatisme secondaire affecte gravement votre santé mentale et votre vie quotidienne, envisagez d’en parler à un professionnel de la santé mentale. Ils peuvent vous fournir des conseils, du soutien et des stratégies d’adaptation adaptées à votre situation spécifique. N’attendez pas que les sentiments d’accablement deviennent trop ancrés. Si vous sentez que vous avez besoin d’une autre perspective, contactez-nous.7. S’engager dans des actions positivesIl est naturel de se sentir impuissant face à une tragédie, mais prendre des mesures positives peut contribuer à atténuer ces émotions. Pensez à faire un don à des organisations humanitaires réputées, à participer à un plaidoyer pacifique ou à donner de votre temps pour faire une différence. Souvent, dans ces moments-là, les besoins sont immenses et chaque petit mouvement vers l’unité est utile.

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