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Ma génération est précaire et incertaine principalement à cause de deux problèmes.
Incertain parce que posséder une maison et avoir un intérêt dans l’avenir de l’Australie semble de plus en plus inaccessible. Incertain en raison de l’inquiétude suscitée par le changement climatique et de la confusion politique dans la lutte contre ce phénomène.
Les jeunes Australiens en sont venus à partager un récit de déclin qui s’exprime dans ces deux numéros. Il existe un sentiment d’impuissance et d’aspirations non satisfaites.
Ces deux questions occupent une place importante chez les jeunes Australiens parce qu’ils se soucient profondément de leur monde et de leur environnement et qu’ils sont motivés par une conception de leur place dans ce monde. Aucune question n’incarne plus le sentiment d’appartenance et d’appartenance que l’accession à la propriété.
C’est là que se trouve l’occasion pour le Parti libéral de se forger une nouvelle base de soutien.
Robert Menzies a déclaré que « les vraies libertés sont d’adorer, de penser, de parler, de choisir, d’être ambitieux, d’être indépendant, d’être travailleur, d’acquérir des compétences et de rechercher une récompense ».
C’est l’essence même de la liberté et de l’autonomisation de l’individu que le Parti libéral fait valoir à son meilleur.
Pourtant, pour ma génération, ces mots tombent à plat. Les jeunes ne chercheront pas à conserver un système qui ne fonctionne pas pour eux.
Si le Parti libéral peut offrir espoir et certitude sous la forme d’une réforme audacieuse du logement et d’une action climatique sensée, il convaincra une nouvelle génération d’électeurs ambitieux.
C’est l’occasion de concrétiser la vision de Menzies d’un parti qui donne aux individus les moyens de construire, de prospérer, de choisir et de poursuivre librement leurs objectifs.
La capacité de devenir propriétaire d’une maison fait appel à des thèmes plus profonds d’équité et d’opportunité. Dans la mesure où l’accession à la propriété représente une opportunité, elle soutient également une démocratie saine. L’accession à la propriété est également une question de sécurité économique et constitue le fondement d’une classe moyenne saine.
Les jeunes Australiens qui entrent sur le marché immobilier sont confrontés à un système de lois byzantines en matière de planification et à des barrières fiscales inutiles qui soit gonflent les prix par un comportement spéculatif, soit freinent la réduction des effectifs.
Même s’il vaut la peine d’examiner les chiffres de l’immigration et leurs effets sur les prix, il s’agit en fin de compte d’une question secondaire.
Le Parti libéral doit faire preuve d’audace et s’attaquer à ce problème à la racine : l’approvisionnement. L’habitat à haute densité, bien réalisé dans des zones bien desservies par les transports et les services publics, est la voie à suivre.
Cela pourrait ne pas être politiquement opportun à court terme. Le nimbyisme est une force avec laquelle il faut lutter. Mais c’est la bonne chose à faire pour élargir les opportunités et garantir que les Australiens de mon âge aient une chance équitable de construire un avenir pour eux-mêmes et leurs familles.
Cette stratégie a fait ses preuves, les conservateurs canadiens ayant considérablement amélioré leur position auprès des jeunes grâce à des politiques favorables à l’offre de logements.
L’action climatique et l’atteinte du zéro net sont des objectifs importants pour le bien des générations futures d’Australiens. Ici, le Parti libéral doit répondre aux préoccupations de ma génération de manière honnête, sensée et réaliste.
Il serait tragique de promouvoir des politiques censées préserver notre environnement pour les générations futures, pour ensuite les imposer des montagnes de dettes, des prix de l’énergie exorbitants et des pannes d’électricité à répétition.
Le parti libéral devrait s’appuyer sur l’esprit d’innovation des entreprises australiennes et défendre la déréglementation – notamment dans les relations industrielles – afin de réduire les coûts liés à l’exploitation minière des minéraux critiques, à la R&D verte et d’ouvrir plus largement les opportunités d’emploi aux jeunes.
Lever l’interdiction du nucléaire et accepter le rôle que le gaz jouera pour nous éloigner du charbon sont des débuts bons et sensés. Il est important que les libéraux évitent les approches gouvernementales massives. Le gouvernement ne devrait pas choisir des gagnants et des perdants. Le gouvernement devrait laisser aux marchés financiers le soin de décider si le nucléaire, l’éolien, le solaire, l’hydroélectricité ou l’hydrogène sont la voie à suivre.
Le mouvement politique qui prône des politiques qui élargissent les opportunités pour les jeunes sur le marché du logement et qui répondent judicieusement aux demandes des jeunes en matière de lutte contre le changement climatique est un mouvement qui peut construire une nouvelle base de soutien à long terme.
Je crois fermement que c’est une politique ancrée dans la foi libérale dans l’autonomisation des individus et dans l’entreprise privée qui répondra aux espoirs, rêves et aspirations encore restés sans réponse des jeunes Australiens.