Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsOLa décision d’hier du parti libéral d’opposer une voix autochtone au parlement ne fait que valider la stratégie d’avoir un référendum en premier lieu : c’est le peuple, et non les politiciens, qui obtiendra ce droit.Les autochtones le savent depuis un certain temps. Dans une campagne pour gagner un référendum, vous devez tendre la main de la compréhension et de la générosité à tous, quelle que soit la bannière derrière laquelle ils marchent.Cela a été, et continuera d’être, notre approche même lorsqu’il est suggéré que nous flagellons un cheval mort.La décision de cette semaine marque une fin insatisfaisante à 16 ans de labeur et de persuasion de la part de nombreux peuples autochtones et non autochtones pour créer un soutien bipartite pour la reconnaissance des aborigènes et des insulaires du détroit de Torres dans la constitution.Bien qu’insatisfaisant, il n’a servi qu’à renforcer notre détermination à gagner.Plus tôt cette semaine, on a appris que l’un des géants de l’histoire aborigène et insulaire du détroit de Torres était décédé dans sa patrie du nord-est de la Terre d’Arnhem. Un vieil homme qui connaissait mieux que quiconque le type de conviction inébranlable et de détermination à lutter pour la victoire, quel que soit le défi.Le plaidoyer des aborigènes et des insulaires du détroit de Torres pour le changement n’est jamais alimenté par un seul moment ou un seul objectif, mais est enraciné dans notre lien avec notre passé et un avenir encore à déterminer. L’héritage que ce vieil homme nous a légué nous aidera à atteindre notre objectif d’un référendum réussi cette année.Nous ne manquons pas de motivation dans cette campagne. En fait, nous sommes plus résolus que jamais.Il est important de reconnaître les députés libéraux tels que Russell Broadbent, Bridget Archer, Jenny Ware, Andrew Bragg et Richard Colbeck qui se seraient prononcés hier contre des éléments de la décision.La politique ne permet pas de se dresser avec conviction contre des collègues, et leur position nous rappelle deux choses.La première est que les gens de bonne volonté sont prêts à écouter et à être persuadés qu’un référendum réussi sur une voix est une bonne chose pour notre nation. Ce n’est pas une question d’espoir. Il découle de l’expérience de nombreuses années où des Australiens de tous horizons, quelle que soit leur intention de vote, ont ouvert leurs oreilles et leur cœur à l’appel à une reconnaissance constitutionnelle significative. Ils comprennent qu’il s’agit d’un problème au-dessus de la politique du statu quo, ce dont tous les Australiens ont eu envie.Voix autochtone au parlement : qu’est-ce que c’est et comment cela fonctionnerait-il ? – vidéo explicativeLa seconde est que ce référendum n’appartient pas aux politiciens mais au peuple de décider.À l’annonce de mercredi s’ajoute le simple fait que les politiciens n’obtiennent pas plus de voix lors du référendum que tous les autres Australiens.Le vote du premier ministre Anthony Albanese aura autant de pouvoir qu’un charpentier de Campbelltown, et le vote du chef de l’opposition Peter Dutton comptera comme un barbier de Boonah.Ils sont vraiment sur le même terrain que tous les autres Australiens en âge de voter.Les Australiens se feront leur propre opinion, comme l’a fait le premier ministre libéral de Tasmanie, Jeremy Rockliff, lorsqu’il a déclaré qu’il ferait campagne « vigoureusement » pour le oui.Nous sommes convaincus que les Australiens veulent faire partie d’un référendum qui met à jour modestement notre constitution vieille de 122 ans pour reconnaître plus de 65 000 ans de connexion continue avec les Autochtones.Nous sommes convaincus qu’ils écouteront les experts juridiques, y compris d’anciens juges de la Haute Cour, qui ont confirmé qu’une voix au parlement est un moyen juridiquement sûr de reconnaître constitutionnellement les Australiens autochtones.Ils seront convaincus qu’environ 80% des Australiens autochtones soutiennent la reconnaissance constitutionnelle sous la forme d’une voix au parlement.Malgré tout le bruit qui sort de Canberra, les Australiens savent que la reconnaissance constitutionnelle par une voix est une simple proposition dont le moment est venu.
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