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Ou cours des 30 dernières années, la bassiste et chanteuse américaine d’origine allemande Meshell Ndegeocello a prêté son mélange unique de mélodies spacieuses, de grooves enracinés et de fingerpicking complexes à des morceaux de tout le monde, de Madonna à Herbie Hancock et Robert Glasper. À travers ses propres albums, Ndegeocello a affiné ce son pour créer une musique émouvante qui interpole autant le R&B et le hip-hop que la virtuosité du jazz. Plus récemment, elle a produit 2018 Ventriloquie, qui réinterprète les morceaux R&B des années 80. Sur son dernier album, Ndegeocello regarde maintenant vers l’avenir, produisant un paysage sonore futuriste et original de synthpop désinvolte et de R&B électronique.
La programmation de batterie électronique claquante donne un swing moderniste à des morceaux tels que Georgia Ave et Omnipuss, tandis que le saxophone synthétisé de Josh Johnson sous-tend les harmonies vives de An Invitation. Les caractéristiques du vibraphoniste Joel Ross sur les tours balladiques et du guitariste Jeff Parker sur la fusion rapide d’ASR sont quant à elles ancrées par le jeu de basse percutant de Ndegeocello, donnant de la cohérence à sa palette de sauts de genre. D’une longueur de 18 titres, certains numéros, comme le grattage de guitare Call the Tune ou l’ambiance Oneelevensixteen, sont d’une brièveté alléchante et ressemblent à des croquis. Dans l’ensemble, c’est une imagination confiante de son futur funk contagieux.