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Le myope Andrew Bailey est pour le moins malhonnête lorsqu’il déclare qu' »il n’avait aucune preuve à l’appui » de l’affirmation selon laquelle les entreprises profitent en cette période d’inflation (le patron de la Banque d’Angleterre exhorte les entreprises à retenir les hausses de prix ou à risquer des taux plus élevés, 24 mars).
Que veut-il? Un aveu signé des PDG des 350 firmes cotées à la Bourse de Londres dont les marges bénéficiaires moyennes sont passées de « 5,7 % au premier semestre 2019 à 10,7 % au premier semestre 2022 », admettant avoir augmenté leurs prix » furtivement et excessivement pour enrichir les actionnaires au détriment des consommateurs » (Greedflation : les grandes entreprises utilisent-elles les crises comme couverture pour faire grimper leurs profits ?, 24 mars) ? Vraisemblablement, la marge bénéficiaire de 17 % de Procter & Gamble au cours des trois dernières années n’a pas été remarquée par Bailey, ni d’ailleurs les résultats de la recherche effectuée par Unite, ni la recherche américaine montrant que la plupart des augmentations de prix provenaient « d’entreprises cherchant à maintenir leurs marges bénéficiaires ». », que le Guardian a rapporté pour la première fois il y a trois mois (La Banque d’Angleterre s’apprête à augmenter les coûts d’emprunt pour lutter contre l’inflation, 14 décembre 2022).
Cependant, Bailey ne serait pas au courant du devis d’assurance habitation qui m’a été envoyé ce mois-ci et qui était environ 200 % plus élevé que le montant que j’ai payé à la même entreprise l’année dernière, malgré l’absence de réclamation. Quand j’ai téléphoné pour avoir une explication, on m’a dit que c’était à cause de mon code postal – le même évidemment que l’année dernière.
Bernie Evans
Liverpool