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UNvers 22 heures la veille de la prise de cette photo, Samsul, un cultivateur de pastèques, était monté à bord de son bateau à Barishal, un district du Bangladesh. Il avait navigué toute la nuit jusqu’à Dhaka, amarré dans le port de Sadarghat, sur la rivière Buriganga.
Vers 5 heures du matin, son chalutier avait pris place à côté d’un autre, vendant des citrouilles, et l’agriculteur redevenu marin se métamorphosait, cette fois en commissaire-priseur, vendant ses produits au prix de gros aux vendeurs du marché local.
Au moment où Saiful Islam est passé, vers 7 h 30, de nombreuses pastèques de Samsul avaient déjà été vendues et appréciées dans toute la capitale, et une grande partie du long quart de travail du fermier était terminée.
Islam, un ingénieur logiciel qui prend des photos comme passe-temps, avait une journée de congé et s’était dirigé vers le port avec son jeune frère pour photographier tout ce qu’il pouvait rencontrer. Il décrit le quartier comme un brouhaha d’activités : cris, troc, caméraderie.
« Je l’ai vu de loin et je me suis tenu sur la rambarde du bateau pour prendre la photo. Je ne l’ai pas dérangé, car je savais à quel point il devait être fatigué, mais il s’est réveillé quelques minutes plus tard. Nous avons discuté et je lui ai montré la photo. ‘Oh mon Dieu!’ il a dit.
« C’était déjà une journée très chaude, alors il nous a donné à chacun une pastèque gratuite et est retourné à son bateau en souriant. »