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Un documentaire sur les ours polaires enregistré avec des caméras installées sur eux a montré comment ces animaux arctiques survivent dans les conditions météorologiques changeantes dues au réchauffement climatique. L’élément marquant de ces images rares était le changement dans le régime alimentaire des ours polaires.
Comme la plupart d’entre eux chassent le phoque comme source principale d’alimentation, la glace marine qui constitue leur plate-forme de chasse diminue rapidement en raison du changement climatique, les obligeant à dépendre d’autres aliments à déficit calorique.
L’étude a débuté en 2019 lorsque des scientifiques de l’USGS ont attaché des appareils d’enregistrement à 20 ours polaires dans la baie d’Hudson au Canada, où la période sans glace a augmenté d’environ trois semaines depuis 1979. Les caméras ont enregistré 115 heures d’images sur trois ans, à partir de 2019. jusqu’en 2022, et les résultats de l’étude ont été publiés aujourd’hui dans la revue Nature Communications.
Des images rares d’ours polaires sont mignonnes mais inquiétantes
Tous les petits clips enregistrés par les caméras corporelles des ours polaires ont été assemblés en une seule vidéo qui les montre en train de manger des baies et des herbes, de mâcher des animaux marins et de se nourrir de carcasses d’oiseaux. Parfois, ces créatures gargantuesques, qui peuvent peser plus de 1 500 livres, semblent se comporter comme des chiens, se battant occasionnellement dans l’eau et rongeant les bois.
Source : USGS/Université de l’État de Washington
La vidéo est réconfortante mais souligne également le fait que le changement climatique a rendu les ours polaires vulnérables à leur principale source de nourriture, c’est pourquoi ils modifient leurs habitudes alimentaires pour survivre dans des environnements changeants.
Avant d’enregistrer ces vidéos, les scientifiques pensaient que les ours polaires pourraient s’adapter à la vie terrestre soit en économisant leur énergie grâce au repos, soit en recherchant des proies alternatives telles que des oiseaux marins et des plantes.
Les images et les données associées collectées par les scientifiques, notamment les mesures de mouvement, de masse corporelle et de dépense énergétique, ont confirmé que les ours polaires utilisaient les deux stratégies. Alors que certaines personnes ont choisi d’économiser leur énergie en se reposant, d’autres se sont activement engagées dans la recherche de nourriture.
Toutefois, aucune des deux approches n’a abouti. Environ 20 ours ont perdu du poids, ce qui suggère qu’ils finiront par avoir faim. Une personne a perdu près de 80 livres.
L’étude a révélé que certains ours faisaient de longues nages, ce qui est « nouveau et inattendu à cette période de l’année », a déclaré à Vox Andrew Derocher, un expert des ours polaires à l’Université de l’Alberta, qui n’a pas participé à l’étude. « Il s’agit peut-être d’actes de désespoir », a-t-il déclaré.
La population d’ours polaires dans cette région a déjà diminué de 30 pour cent depuis 1987, selon les estimations des chercheurs, ce qui est assez alarmant. Cette étude fournit des preuves du déclin de la population d’ours polaires, qui pourrait être dû à la famine.
(Avec la contribution des agences)