Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Un ancien employé de British Airways ferait l’objet d’une enquête suite à des allégations selon lesquelles il aurait orchestré une escroquerie à l’immigration de 3 millions de livres sterling depuis un comptoir d’enregistrement d’Heathrow.
Le suspect de 24 ans a quitté son emploi et a déménagé en Inde après avoir été libéré sous caution, selon le Times.
Le superviseur de l’enregistrement de BA aurait facturé 25 000 £ aux personnes pour les faire passer par le terminal 5 et monter dans les avions sans documents de visa valides.
Une source a déclaré au Guardian que l’incident présumé aurait consisté à aider des personnes à contourner les lois sur l’immigration pour entrer au Canada, et que les passagers disposaient des documents appropriés pour se rendre au Royaume-Uni.
La majorité des voyageurs qui en ont bénéficié étaient des citoyens indiens qui prévoyaient de demander l’asile au Canada et à qui on avait demandé de voyager de l’Inde vers le Royaume-Uni avec un visa de visiteur temporaire, a rapporté le Times.
D’autres étaient des demandeurs d’asile basés au Royaume-Uni et risquaient de se voir refuser le droit de rester et d’être expulsés.
Un porte-parole de BA a déclaré mardi : « Nous aidons les autorités dans leur enquête ».
L’homme a été arrêté le 6 janvier, puis s’est enfui en Inde, où il aurait plusieurs domiciles. Il était accompagné de son partenaire, qui travaillait également pour la compagnie aérienne, a rapporté le Times.
Les forces frontalières britanniques et la police travaillent avec les autorités indiennes pour retrouver les deux hommes, qui n’ont pas été nommés. Le Royaume-Uni a conclu un traité d’extradition avec l’Inde.
Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a déclaré : « Il serait inapproprié de commenter alors qu’une enquête est en cours. »
Les compagnies aériennes vérifient généralement que les passagers remplissent les conditions d’entrée pour leur destination.
Les passagers titulaires d’un visa subissent un contrôle manuel du visa avant la validation de leur carte d’embarquement.
La fraude présumée aurait impliqué des passagers qui avaient réservé des vols vers le Canada sans visa valide.
Des sources aériennes ont déclaré que le suspect veillerait par la suite à se rendre à son comptoir d’enregistrement au terminal 5, où il pourrait faussement inscrire dans le système qu’il avait vu une preuve de visa.
Il traiterait également les passagers à la porte d’embarquement, selon le Times. Les passagers auraient demandé l’asile à leur arrivée au Canada.
Les responsables canadiens se sont inquiétés après l’apparition d’une tendance selon laquelle des passagers sur des vols BA à destination de Toronto ou de Vancouver arrivaient sans visa pour demander l’asile, a rapporté le journal.