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Sepuis son arrivée il y a deux décennies, la prodige du piano Zoe Rahman a apporté diverses palettes musicales au jazz britannique, qu’elles proviennent de sa formation classique ou de l’héritage punjabi qu’elle a exploré en 2008. Là où les rivières se rencontrentou les ballades grand public qu’elle interprète en duo avec Courtney Pine.
Ici, elle est à la tête d’un groupe de huit musiciens sur un ensemble saisissant de ses propres compositions qui défie encore une fois la catégorisation facile. Il est soutenu par sa section rythmique régulière du bassiste Alec Dankworth et du batteur Gene Calderazzo (ce dernier évitant l’approche bruyante de nombreux homologues nord-américains), avec une synastrie fraternelle de son frère Idris au sax et à la clarinette. Ses ambiances sont variées mais typiquement lumineuses. Opener Dance of Time marie une mélodie enjouée avec un solo de flûte exaltant de Rowland Sutherland, tandis que Little Ones est mélancolique et Sweet Jasmine, un hommage à sa fille, joyeux, combinant le piano fluide de Rahman avec le mélodisme funky du trompettiste invité Byron Wallen. Le long solo de piano qui ouvre Roots se déroule d’une ouverture bluesy à des ondulations de clavier célestes et à des séquences d’accords percussifs rappelant McCoy Tyner (une influence durable).
Que ce soit sur le disque Unity ou sur le méditatif Peace Garden, le jeu de Rahman est toujours complexe et surprenant. Un ensemble de bravoure exceptionnel.