Customize this title in french20 000 morts sur les routes par an – les auditeurs européens appellent à une coordination plus étroite

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

L’Europe est loin d’avoir atteint son objectif de réduire de moitié le nombre de morts sur les routes d’ici 2030 par rapport à 2019, selon un nouveau rapport de l’Union européenne. Cour des comptes européenne (CCE)avec une baisse prévue du nombre de morts de seulement 25 %, compromettant ainsi l’objectif ultime de l’Europe d’un nombre de morts sur les routes proche de zéro d’ici 2050.

La responsabilité des politiques de sécurité est partagée entre la Commission européenne et les gouvernements nationaux. La Commission fixe des objectifs de haut niveau en matière de réduction du nombre de tués sur les routes et propose une législation européenne pour contribuer à atteindre ces objectifs.

Mais les États membres conservent la responsabilité de l’élaboration et de l’application des règles dans certains domaines – par exemple la vitesse et l’alcool au volant – deux facteurs clés de mortalité sur les routes.

Pour les règles décidées au niveau national, la Commission vise à soutenir les efforts des États membres via la coordination. Bruxelles aide les autorités nationales à partager leur expertise et des données comparables sur les accidents. Les fonds de l’UE sont également affectés à des projets de sécurité routière.

La Cour des comptes européenne a constaté que même s’il existe une approche globale au niveau européen, la Commission exerce une surveillance limitée sur les stratégies de mise en œuvre des États membres, les différentes approches nationales en matière d’enquêtes sur les accidents, de collecte de données et de conception des infrastructures entravent la coopération au niveau européen.

La sécurité routière ne concerne pas seulement les décès : il y a environ 5 blessures qui changeront la vie derrière chaque mort sur la route en Europe.

Les conséquences ne sont pas réparties uniformément à travers l’Europe. Un citoyen roumain a quatre fois plus de risques de mourir dans un accident de la route qu’un citoyen suédois. Et les usagers de la route vulnérables – piétons, cyclistes et motocyclistes – sont responsables de près de la moitié de tous les décès.

Alors que la plupart des pays ont réussi à réduire considérablement leurs taux de mortalité, les Pays-Bas et Malte ont enregistré plus de décès par million d’habitants en 2022 qu’en 2010.

Plus détaillé les données du SWOL – l’institut scientifique national néerlandais pour la recherche sur la sécurité routière – ont montré que les cyclistes représentaient plus de la moitié du pic de décès sur les routes en 2022. SWOL n’a fourni aucune explication à cette tendance, avertissant que les chiffres des décès reflètent le nombre de voyages – et pas seulement le « risque » inhérent au voyage.

SE RETOURNER SUR LA VOIE

La Cour des comptes européenne a formulé trois recommandations à la Commission pour remettre l’Europe sur la bonne voie pour atteindre ses objectifs de 2030 et 2050.

Premièrement, il devrait garantir une collecte complète de données afin de faciliter des objectifs nationaux cohérents en matière d’accidents et de blessures. Deuxièmement, les États membres devraient être encouragés et soutenus dans leurs efforts pour s’attaquer aux domaines les plus à risque. Et troisièmement, les fonds d’infrastructure de l’UE devraient être consacrés à des projets qui améliorent explicitement la sécurité routière.

La Commission a reconnu que davantage de travail était nécessaire pour atteindre ses objectifs pour 2030 et 2050, acceptant largement les recommandations de la Cour.

En réponse au rapport, Antonio Avenoso, directeur exécutif du Conseil européen de la sécurité des transports (ETSC), a appelé à des règles plus strictes, affirmant que «l’approche actuelle de l’UE ne sera tout simplement pas efficace tant que la législation ne sera pas suffisamment ambitieuse.».

Avenoso a appelé à la création d’une agence européenne dédiée à la sécurité routière.

Les conclusions de la Cour des comptes européenne interviennent cette semaine au milieu d’une vague d’élaboration de lois européennes relatives à la sécurité routière. Le Parlement européen a voté en faveur autoriser des camions plus longs et plus lourdstandis que le Conseil et le Parlement conclu un accord améliorer l’application transfrontalière du code de la route.

COMPROMIS VERT OU SÉCURITÉ ?

Notant que les initiatives de sécurité routière reçoivent actuellement des fonds européens limités pour les infrastructures, la Cour des comptes européenne a attribué cela en partie à la concurrence pour les fonds avec les projets de transport « verts ».

L’eurodéputé vert irlandais Ciarán Cuffe a rejeté toute suggestion d’un compromis entre sécurité et décarbonation, déclarant à Euractiv que «une priorité verte clé consiste à abandonner les déplacements en voiture au profit d’autres modes de transport, notamment le train et l’autocar, qui sont beaucoup plus sûrs que la voiture au kilomètre parcouru ».

Il a également noté que les déplacements actifs comme la marche et le vélo peuvent réduire les décès prématurés liés à l’obésité et au comportement sédentaire. Cuffe a conclu que «investir dans des modes de transport plus sûrs et plus écologiques est une mesure sans regret qui sauve des vies.

« NOUS DEVONS FAIRE MIEUX »

Préliminaire chiffres pour 2023 montrent une sous-performance continue. Le nombre de décès sur les routes en Europe n’a diminué que de 1 % en 2022. Partageant les résultats sur X (anciennement Twitter), la Commission a reconnu que «nous devons faire mieuxr ».

[Edited by Rajnish Singh]

En savoir plus avec Euractiv



Source link -57