Customize this title in frenchÇa turbine à Villepinte

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words Appuyez sur play pour écouter cet article Exprimé par l’intelligence artificielle. Notre newsletter quotidienne sur les enjeux de lobbying et de transparence en France. Par OCÉANE HERRERO Avec AURORE GORIUS, ALEXANDRE LÉCHENET et PAUL DE VILLEPIN Infos, tuyaux et mini-drames à partager ? Écrivez à Océane Herrero, Aurore Gorius, Alexandre Léchenet et Paul de Villepin | Voir dans votre navigateur — Les promoteurs de l’atome prennent le RER B vers la World Nuclear Exhibition. — L’Institut Montaigne change de méthode, pas d’adhérents. — Loi anti-Airbnb : c’est le jour J. Bonjour à toutes et à tous, nous sommes mardi 28 novembre et vous lisez Paris Influ. NUCLÉARISTES DE TOUS LES PAYS. Vous êtes plutôt Nantes ou Villepinte ? Éolien en mer ou nucléaire ? Votre infolettre a choisi Villepinte et la cinquième édition du World Nuclear Exhibition, qui réunit les entreprises et décideurs du nucléaire civil. Vous pourrez y croiser Thierry Breton, Agnès Pannier-Runacher, toute la fine fleur du nucléaire français et mon collègue Alexandre Léchenet. Autres stars des traves : les start-up qui viennent de remporter l’appel à projet « nucléaire innovant » et rejoignent Naarea, Nuward et Newcleo dans la grande famille des subventionnés. Les six nouveaux lauréats, annoncés hier par le ministre de la Transition énergétique : Jimmy, Renaissance Fusion, Calogena, Hexana, Otrera et Blue Capsule. De la moula. Tous ensemble, ils bénéficieront de 77,2 millions d’euros de subventions — l’Etat refuse d’en donner le détail. 18,9 millions sont versés par le Commissariat à l’énergie atomique sous la forme d’un appui technique. Plus de moula. Au début du mois, le commissaire européen à l’énergie a annoncé la création d’une alliance industrielle, répondant à l’appel des ministres de l’Alliance du nucléaire, lancé par Agnès Pannier-Runacher, qui réclamaient davantage de soutien pour la filière. Ceux-ci exigeaient également des financements européens pour ce secteur. IL COMPTE LES PALES. Emmanuel Macron a choisi Nantes et les Assises de l’économie de la mer. Il profitera de sa présence pour « rappeler ses priorités » sur l’éolien offshore et lancer éventuellement la consultation publique sur la planification des façades maritimes, explicitait un de ses conseillers la semaine dernière. Objectif de cette consultation : obtenir des « cartes précises des lieux d’implantation des éoliennes aussi bien en Méditerranée qu’en Atlantique, Mer du Nord et dans la Manche ». NOUVELLE PAGE. Un peu plus d’un après avoir repris les rêves de l’Institut Montaigne, la nouvelle directrice générale, Marie-Pierre de Bailliencourt, doit faire face aux critiques sur le manque d’audace et la perte d’influence du think tank le plus richement doté de France — plus de 7 millions d’euros de budget en 2022. Après la démission de Laurent Bigorgne, ex-directeur emblématique condamné à de la prison avec sursis pour avoir drogué sa belle-sœur et collaboratrice, l’institut se recentre sur l’économie et les entreprises et tente de devenir une référence sur l’intelligence artificielle. Le tout dans une logique « opérationnelle », qui doit conduire à proposer des « actions réalisables » et des « solutions », comme sa directrice l’a expliqué à POLITICO. À lire : l’enquête de ma collègue Aurore Gorius sur la façon dont l’Institut Montaigne tente de tourner la page et de préserver son influence sur les politiques publiques, au service de ses 200 entreprises adhérentes, qui lui assure la totalité de ses ressources. COP COPAINS. Sultan Ahmed al-Jaber, président de la COP28 aux Emirats arabes unis et patron de la principale compagnie pétrolière du pays, utiliserait-il sa position pour conclure des contrats pétroliers ? La BBC s’est penchée sur le programme des réunions d’Al-Jaber, dont les équipes auraient programmé des rencontres avec au moins vingt-sept gouvernements étrangers. Au programme d’une réunion avec la Chine : l’examen des opportunités de collaboration sur le gaz naturel liquéfié au Mozambique, au Canada ou en Australie. Des éléments qui donnent du grain à moudre aux acteurs du milieu écolo, peu emballés par l’idée d’une COP présidée par un gros bonnet de l’industrie pétrolière. Dans un communiqué, un porte-parole de la COP28 dément les éléments fournis par le média britannique, faisant valoir qu’il est « extrêmement décevant de voir la BBC utiliser des documents non vérifiés dans ses reportages ». **Rejoignez-nous la semaine prochaine ! Le 4 décembre, POLITICO Live organise le panel virtuel « Mind Matters – Raising the bar on mental health ». Des experts et des décideurs mondiaux partageront leurs points de vue sur les actions nécessaires pour faire face à l’aggravation de la santé mentale. Inscrivez-vous dès aujourd’hui pour regarder en direct et participer à la discussion !** SIGNATURE DU COMPROMIS. La proposition de loi transpartisane visant à remédier aux déséquilibres du marché locatif en zone tendue — surnommée loi anti-Airbnb — est examinée cet après-midi en commission. Le début de la fin du parcours du combattant pour les députés Annaïg Le Meur (Renaissance) et Iñaki Echaniz (PS) qui ont vu leur texte être remis au placard au printemps et leurs amendements être recalés lors du budget. La PPL en trois mots :1) Interdire progressivement la location courte durée des passoires thermiques ;2) Donner à toutes les communes (et plus seulement aux zones tendues) la main sur l’autorisation d’un changement d’usage ;3) Aligner le régime fiscal de tous les types de localisation. « Ça devrait passer » de manière « assez large », nous confiions hier l’élu des Pyrénées-Atlantiques, au sortir de sa séance de balayage des 178 amendements. Et ce, malgré les réticences de certains membres de LR et du RN, particulièrement tatillons sur l’obligation de soumettre les lieux touristiques à un diagnostic de performance énergétique (DPE). «Il va y avoir des débats sur des points à la marge, mais on va arriver à une bouche équilibrée.» Procédure ponctuelle. Pour économiser du temps, les présidents de groupes se sont mis d’accord pour engager une procédure de législation en commission sur le texte. Pour les non-spécialistes du jargon parlementaire : le droit d’amendement des députés et du gouvernement ne pourra s’exercer qu’en commission, ce qui réduit considérablement la durée de la discussion en séance, prévue mardi prochain. AGENT DÉDOUBLÉ. Thales a rémunéré en toute discrétion l’un de ses anciens salariés alors que celui-ci venait d’entrer au conseil de l’Agence française anticorruption (AFA), a dévoilé hier Mediapart. Dominique Lamoureux a signé avec l’entreprise de défense un contrat de consultant, parallèlement à ses missions au sein de l’entité publique, entre 2019 et 2022. Comptes rendus. Le contrat stipulait que Dominique Lamoureux avait pour mission d’« effectuer (sous réserve de risques potentiels de confidentialité) des comptes rendus des (…) organismes (…) associés il participe en lien avec des thématiques d’éthique, d « intégrité et de responsabilité d’entreprise ». Un simple travail de « veille », a commenté Thales auprès de Mediapart. Le tout pour une rémunération de 7 500 euros par mois et pour six mois renouvelables. Magnanime, Charles Duchaine, patron de l’AFA à l’époque, indique à Mediapart ne pas avoir « le souvenir d’avoir été informé de ce contrat par M. Lamoureux ». En revanche, il indique être sûr de ne pas avoir été « informé des clauses du contrat », faute de quoi il se serait élevé contre la nomination. L’AFA comme Dominique Lamoureux réfutent tout risque de conflits d’intérêts. PUISSANT DÉPORT DU HAVRE. Florent Saint-Martin est un élu local multicarte en Seine-Maritime : mairie du Havre, agglo, département. Il est également le fondateur d’Europolitis, un cabinet de lobbying auprès des instances européennes, qui défend notamment les intérêts de l’Union des ports de France, de Voies navigables de France (VNF) ou encore de deux sociétés de traitement des déchets : Hesus et le Sytcom. Un cumul acrobatique ? Enquête locale. Le Poulpe, média normand, s’est intéressé aux risques potentiels de conflits d’intérêts entre les clients de l’élu local et les délégations de ses différents mandats locaux — il a notamment été amené à s’occuper de la gestion des déchets. Un arrêté de déport, pris en juillet — après avoir été entouré une première fois par Le Poulpe — liste uniquement VNF ​​parmi ses clients. Dans les clous. Saint-Martin a assuré au Poulpe avoir «toujours impliqués la Haute autorité pour la transparence de la vie publique» en cas de «doute sur un potentiel conflit d’intérêts entre son activité de consultant et ses mandats électifs», et avoir toujours suivi « scrupuleusement” les avis de la HATVP. Atos et à travers. Le média local a profité…

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