Customize this title in frenchCes satellites de surveillance peuvent observer des individus

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Das US-amerikanische Unternehmen Albedo Space plant, 2025 eine neue Satelliten-Generation in den erdnahen Orbit zu bringen. Darüber berichtete jetzt die New York Times. La particularité des satellites : la résolution de leurs caméras est si élevée qu’ils peuvent voir des objets à l’horizontale.[–>Erde avec une taille de seulement 10 centimètres et peut donc également capturer spécifiquement des personnes individuelles. Méthodes de surveillance actuelles – telles que le suivi[–>Smartphone les activités ou les caméras placées en permanence – peuvent être évitées ; avec les satellites d’Albedo, une observation permanente serait inévitable. Pour le directeur d’Albedo Space, Toper Haddad, ce n’est pas un fait inconnu : « Nous sommes très conscients de l’impact sur la vie privée », a déclaré le New York Times, cité par le New York Times. Haddad et d’autres partisans de la technologie soulignent les avantages des objets volants : « Vous [dank der Satelliten] savoir quelle maison brûle et où les gens fuient », déclare Donald James Baker. Il est l’ancien chef de l’Administration nationale des océans et de l’atmosphère.

Geringe Flughöhe für hohe Bildqualität

Um die hohe Auflösung zu erreichen, sollen sich die Satelliten im sogenannten Very Low Earth Orbit aufhalten. Dieser befindet sich 250 bis 400 Kilometer über der Erdoberfläche und hat für Satelliten l’inconvénient que la gravité qui y règne encore rend difficile le maintien de la position. Par conséquent, la plupart des missiles ne se trouvent pas dans cette partie de l’orbite. Les 50 collaborateurs d’Albedo auraient désormais résolu ce problème. Le New York Times rapporte que l’entreprise a déjà levé près de 100 millions de dollars américains (environ 92 millions d’euros) et souhaite lancer 24 satellites de ce type en orbite.

Ein kritisiertes Konzept

Jennifer Lynch von der regierungsunabhängigen Organisation Electronic Frontier Foundation, die sich für Grundrechte im Informationszeitalter einsetzt, sieht die geplante Installation der Satelliten kritisch: « Dies ist eine riesige Kamera am Himmel, die jede Regierung jederzeit ohne unser Wissen nutzen kann », zitiert die New York Times Lynch. « Wir sollten definitiv besorgt sein. » Bedenken kommen auch von Jonathan C. McDowell, einem Astrophysiker aus Harvard: « Das bringt uns einen Schritt näher an eine Welt, in der Big Brother uns zuschaut. » Damit spielt McDowell auf den Roman « 1984 » von George Orwell an.

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