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Un employé d’aéroport glamour et expert en diamants a été accusé d’avoir volé des bijoux d’une valeur de 50 225 $.
Chantelle Carrington, 39 ans, travaillait chez Cartier à l’aéroport international de Sydney lorsqu’elle aurait volé 15 bijoux.
Les objets découverts par l’AFP lors d’une perquisition au domicile de Carrington à Kingsgrove le 11 janvier étaient quatre bracelets, trois stylos, deux briquets, deux clés de bracelet, une paire de boucles d’oreilles, un portefeuille, une bougie, un briquet et un pendentif pour homme.
Des images dramatiques de la police montrant son arrestation montraient la femme de 39 ans marchant devant sa maison, les mains en l’air, tout en portant un pyjama.
Chantelle Carrington, 39 ans, travaillait dans la boutique de luxe Cartier à l’aéroport international de Sydney lorsqu’elle aurait volé 15 bijoux.
Elle a comparu devant le Downing Center Court jeudi matin, enfilant une robe Zimmerman à 750 $ et se représentant elle-même.
Carrington, qui était soutenue par sa mère, a tenté de se couvrir le visage avec un sac en plastique de Chemist Warehouse alors qu’elle partait et a esquivé les questions des médias en attente.
‘Laisse-moi tranquille. Il n’y avait pas de bijoux Cartier », a-t-elle déclaré aux journalistes.
Carrington a été accusée de vol par des commis ou des domestiques et a plaidé pour que ses conditions de libération sous caution soient modifiées.
Elle a déclaré qu’il était difficile de devoir se présenter quotidiennement à la police en raison du fait qu’elle était une soignante et une étudiante à plein temps.
Son compte Instagram, où elle se décrit comme une « musicienne », comprend des clichés d’elle exhibant fièrement sa BMW tout en faisant du shopping dans des magasins de vêtements chics.
Son LinkedIn indique qu’elle était conseillère clientèle auprès d’autres marques de luxe Giorgio Armani et Ascot Diamonds.
Les objets découverts par l’AFP lors d’une perquisition au domicile de Carrington à Kingsgrove le 11 janvier étaient quatre bracelets, trois stylos, deux briquets, deux clés de bracelet, une paire de boucles d’oreilles, un portefeuille, une bougie, un briquet et un pendentif pour homme.
Des agents de l’AFP ont perquisitionné son domicile le 11 janvier
« Ma capacité à assumer mes responsabilités consistant à offrir des résultats exceptionnels en me concentrant sur le dépassement des normes de l’entreprise, des objectifs de vente et des attentes des clients en fournissant des solutions critiques aux clients ayant des problèmes de produits et de services, ce qui a assuré une croissance constante pour tous les départements dans lesquels j’ai travaillé au cours de ma carrière, « , a écrit Carrington.
«Mon expérience professionnelle m’a permis non seulement de réussir professionnellement, mais aussi d’élargir ma compréhension personnelle, mes attentes envers moi-même et celles de mon entourage.»
Une enquête sur Carrington a été ouverte par la police fédérale le 9 janvier suite à une plainte déposée par le magasin Cartier concernant des vols présumés commis par un employé.
Un laissez-passer de visiteur de l’aéroport de Sydney, un passeport australien et deux appareils électroniques ont également été saisis par la police lors du raid.
Le surintendant-détective de l’AFP, Morgen Blunden, a déclaré que Carrington « aurait abusé de sa position au sein du terminal de l’aéroport à des fins personnelles ».
« L’AFP entretient des relations de travail positives avec les entreprises aéroportuaires pour prévenir, détecter et répondre à ce type d’activité », a-t-il déclaré.
Carrington se décrit comme une « musicienne » sur son compte Instagram où on la voit exhiber sa BMW
« Grâce à la coopération du magasin, ainsi qu’à notre partenariat de longue date avec Sydney Airport Corporation, nous avons pu résoudre ce problème rapidement, ce qui témoigne de nos relations de travail. »
Carrington a été informée au tribunal qu’elle devrait déposer une demande pour que ses conditions de libération sous caution soient modifiées.
Elle risque jusqu’à dix ans de prison si elle est reconnue coupable et comparaîtra de nouveau devant le tribunal le 26 février.