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© Reuters. PHOTO DE DOSSIER: Un client fait ses courses dans une épicerie fine du Reading Terminal Market après que le taux d’inflation ait atteint un sommet de 40 ans en janvier, à Philadelphie, Pennsylvanie, États-Unis, le 19 février 2022. REUTERS / Hannah Beier
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WASHINGTON (Reuters) – Les prix à la production aux États-Unis ont chuté de manière inattendue en mars, alors que le coût de l’essence diminuait et qu’il y avait des signes que l’inflation sous-jacente à la production diminuait.
L’indice des prix à la production pour la demande finale a chuté de 0,5% le mois dernier, a annoncé jeudi le département du Travail. Les données de février ont été révisées pour montrer l’IPP inchangé au lieu de glisser de 0,1 % comme indiqué précédemment.
Au cours des 12 mois se terminant en mars, l’IPP a augmenté de 2,7 %. Il s’agit de la plus faible hausse d’une année sur l’autre depuis janvier 2021 et fait suite à une progression de 4,9 % en février. Le taux annuel de l’IPP diminue alors que les fortes augmentations de l’an dernier ne sont plus prises en compte dans le calcul.
Les économistes interrogés par Reuters avaient prévu un IPP inchangé sur le mois et en hausse de 3,0 % en glissement annuel.
Le gouvernement a annoncé mercredi que les prix à la consommation globaux avaient à peine augmenté en mars. Alors que l’inflation sous-jacente est restée forte, les loyers ont augmenté à leur rythme le plus lent en près d’un an.
Les marchés financiers parient que la Réserve fédérale augmentera ses taux de 25 points de base supplémentaires lors de sa réunion politique des 2 et 3 mai, selon l’outil FedWatch de CME Group (NASDAQ :). Ce sera probablement la dernière hausse de taux de la campagne de resserrement monétaire la plus rapide de la Fed depuis la fin des années 1980.
Le mois dernier, la Fed a relevé son taux d’intérêt au jour le jour de référence d’un quart de point de pourcentage, mais a indiqué qu’elle était sur le point d’arrêter de nouvelles hausses de taux en clin d’œil à la tourmente des marchés financiers. Elle a relevé son taux directeur de 475 points de base depuis mars dernier, passant d’un niveau proche de zéro à la fourchette actuelle de 4,75 % à 5,00 %.
Une baisse de 1,0 % des prix des biens a représenté les deux tiers de la baisse de l’IPP le mois dernier. Les prix des biens ont diminué de 0,3 % en février. Les prix de l’essence ont chuté de 11,7 % le mois dernier.
Il y a également eu des baisses des prix du carburant diesel, du carburéacteur résidentiel et de l’énergie électrique. Les prix de l’essence devraient rebondir après que l’Arabie saoudite et d’autres producteurs de pétrole de l’OPEP+ ont annoncé au début de ce mois de nouvelles réductions de la production de pétrole.
Les prix des aliments ont rebondi de 0,6 %. Si l’on exclut les composantes volatiles des aliments et de l’énergie, les prix des biens de base ont augmenté de 0,3 % après un gain similaire en février. Les prix des services ont diminué de 0,3 %, la plus forte baisse depuis avril 2020. Il y a eu une baisse de 0,9 % des marges pour les services commerciaux de la demande finale. Le coût des services de transport et d’entreposage a diminué de 1,3 %.
Hors composantes alimentation, énergie et services marchands, les prix à la production ont augmenté de 0,1 % en mars. L’IPP de base a grimpé de 0,2 % en février. Au cours des 12 mois se terminant en mars, l’IPP de base a progressé de 3,6 % après avoir augmenté de 4,5 % en février.