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Rafah (Territoires palestiniens) (AFP) – Vendredi, des Palestiniens se sont embrassés à la frontière égyptienne avec la bande de Gaza bloquée alors que des étudiants rentraient chez eux après avoir fui l’éruption de violence au Soudan.
L’Autorité des passages et des frontières de Gaza a déclaré que « 172 étudiants sont arrivés dans la patrie par le poste frontière de Rafah, comme le premier groupe d’étudiants venant du Soudan ».
Il y a eu des étreintes et des larmes à l’entrée sud de Gaza alors que des proches saluaient de jeunes Palestiniens fuyant les combats qui ont éclaté le 15 avril.
« La situation était vraiment difficile, elle a frappé partout à Khartoum », a déclaré à l’AFP l’étudiant universitaire Nasser Qishta.
« L’ambassade de Palestine au Soudan nous a contactés, a rassemblé les étudiants et nous a transférés à Gaza », a ajouté Qistha, qui reste déterminé à retourner dans la capitale soudanaise « lorsque les conditions s’amélioreront ».
Les gouvernements se sont précipités pour extraire leurs citoyens du Soudan au milieu de la violence meurtrière entre l’armée, dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhan, et les Forces de soutien rapide (RSF) paramilitaires commandées par son ancien adjoint Mohamed Hamdan Daglo.
Plus de 500 personnes ont été tuées, selon des chiffres du ministère de la Santé qui seraient incomplets.
Wael al-Masri, un étudiant en médecine, a déclaré que la situation s’apparentait à une « guerre civile ».
« Je remercie tous ceux qui nous ont aidés à rentrer », a-t-il déclaré au point de passage de Rafah, qui a été ouvert spécialement pour leur arrivée par les autorités égyptiennes.
Les 2,3 millions d’habitants de Gaza ont vécu de multiples guerres entre les militants palestiniens et Israël depuis que le groupe islamiste Hamas a pris le contrôle en 2007.
Un blocus dirigé par Israël a depuis été imposé et l’obtention des permis et des fonds nécessaires pour quitter le territoire est quasiment impossible pour la majorité des résidents.
© 2023 AFP