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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Le bâtiment de la Réserve fédérale américaine est photographié à Washington, le 18 mars 2008. REUTERS/Jason Reed/File Photo
Un regard sur la journée à venir sur les marchés européens et mondiaux par Ankur Banerjee
L’inflation reste le mot d’ordre sur les marchés vendredi alors que les investisseurs attendent les données sur les prix à la consommation en Espagne, en France et en Suède après que les données américaines ont montré une inflation persistante, tandis que le dernier rapport en provenance de Chine a mis en évidence des pressions déflationnistes persistantes.
Les données américaines sur les prix à la consommation publiées jeudi ont alimenté les attentes selon lesquelles la Réserve fédérale n’en aurait peut-être pas encore fini avec son resserrement monétaire. Les marchés intègrent désormais une probabilité d’environ 40 % d’une hausse des taux en décembre, contre une probabilité de 28 % avant la publication du rapport.
Dans de récents commentaires, les responsables de la Fed ont cité la hausse des rendements obligataires comme un facteur qui pourrait leur permettre de mettre fin au cycle de hausse des taux.
Mais les dernières données ont ramené une partie de la nervosité liée aux taux.
Tout cela a créé un environnement d’aversion au risque pendant les heures d’ouverture en Asie, l’indice MSCI le plus large des actions d’Asie-Pacifique en dehors du Japon glissant de 1 %, en passe de mettre fin à sa séquence de trois jours de victoires consécutives.
Le dollar a conservé ses gains du jour au lendemain contre un panier de devises, après avoir terminé jeudi les échanges avec sa plus forte hausse en pourcentage sur une journée depuis mars. Cela a remis le yen sous pression et l’a amené à se rapprocher du niveau de 150 pour un dollar. Il a atteint 149,78 pour un dollar pour la dernière fois.
Dans le même temps, la banque centrale de Singapour a surpris le marché en annonçant qu’elle passerait d’une routine semestrielle à un calendrier de déclarations politiques trimestrielles en 2024. Ses paramètres monétaires sont restés inchangés.
Les contrats à terme indiquent que les actions européennes devraient poursuivre leur sombre humeur avec une ouverture en baisse.
Le rapport publié vendredi en Chine – où la déflation, et non l’inflation, inquiète les marchés – pèse également probablement sur l’esprit des investisseurs. Il montre que l’indice des prix à la consommation est resté inchangé en septembre par rapport à l’année précédente, manquant la prévision d’un gain de 0,2% dans un sondage Reuters. .
Il y a cependant eu de bonnes nouvelles parmi la multitude de données économiques de la deuxième économie mondiale. Le rythme de la baisse des exportations et des importations chinoises a ralenti pour un deuxième mois en septembre, s’ajoutant aux récents signes indiquant que l’économie chancelante pourrait se stabiliser progressivement.
Alors que la saison des résultats approche, les yeux du marché seront tournés vers les banques américaines. Les résultats de JPMorgan Chase (NYSE 🙂 attendus vendredi donneront le ton.
Principaux développements qui pourraient influencer les marchés vendredi :
Événements économiques : données sur l’inflation de septembre en Espagne, en France et en Suède ; Données de production industrielle de la zone euro pour août