Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words Appuyez sur play pour écouter cet article Exprimé par l’intelligence artificielle. Notre newsletter quotidienne sur les enjeux de lobbying et de transparence en France. Par OCÉANE HERRERO Avec AURORE GORIUS, ALEXANDRE LÉCHENET, PAUL DE VILLEPIN et JASON WIELS Infos, tuyaux et mini-drames à partager ? Écrivez à Océane Herrero, Aurore Gorius, Alexandre Léchenet et Paul de Villepin | Voir dans votre navigateur — Pas surprise : les Saoudiens triomphent en remportant l’Expo 2030. — Surprise : la commission d’enquête sur les crèches aura bien lieu. — Les petits réacteurs nucléaires se préparent à pousser comme des champignons. Bonjour à toutes et à tous, nous sommes mercredi 29 novembre et le classement brillant POLITICO 28 des personnalités les plus influentes d’Europe vient tout juste de sortir du quatre. On met fin direct au suspense : le dirigeant libéral polonais Donald Tusk arrive premier du cru 2024, lui qui a su mener la Coalition civique à la victoire aux dernières législatives. Et les Frenchies ? Rassurez-vous, nos têtes de gondole franchouillardes sont bel et bien représentées : Emmanuel Macron, Marine Le Pen, Christine Lagarde et Gérald Darmanin ont été remarqués depuis Bruxelles, et peuvent donc y aller d’une petite publication sur les réseaux sociaux. « MABROUK. » Des cris, des embrassades, des larmes et quelques pas de danse traditionnelle : votre infolettre était aux premières loges hier pour assister au triomphe de l’Arabie saoudite qui a obtenu l’orga de l’Exposition universelle de 2030. En concurrence face à Rome et Busan, Riyad a reçu 119 voix en sa faveur dès le premier tour, contre 29 pour les Coréens et seulement 17 pour les Italiens, lors d’un examen organisé par le Bureau international des expositions (BIE), dont le siège est à Paris. Faux suspense. Dans son discours, en forme de dernier pas avant le vote, le ministre des Affaires étrangères saoudien avait vendu la mèche en annonçant que la candidature du royaume était soutenue par environ 130 pays (dont la France, comme nous vous l’expliquions ici). Les Saoudiens avaient d’ailleurs déjà imprimé des cartons d’invitation à la soirée de célébration de la victoire… Sur la touche. Tandis que les Coréens faisaient grise mine dans le troquet qu’ils avaient privatisé et rebaptisé Café de Busan pour l’occasion, les Italiens n’étaient pas avares de petits tacles. Giampiero Massolo, le patron de la candidature italienne, dénonçait une « dérive mercantile ». Une allusion à peine voilée aux rumeurs de promesses d’opportunités de business qu’auraient formulées les Saoudiens en échange du soutien des Etats. C’EST PARTI. Il y aura bien une commission d’enquête à l’Assemblée sur « le modèle économique des crèches et la qualité de l’accueil des jeunes enfants ». L’idée, lancée par La France insoumise, a trouvé une majorité hier dans l’hémicycle, allant des communistes au RN, mais sans passer par la Renaissance, le Modem, ni Les Républicains. Surprise du chef. Pour avoir suivi les débats en commission, votre infolettre vous avait écrit que LR jouerait l’arbitre de cette commission d’enquête. Que nenni ! C’est finalement le vote du groupe Horizons qui a été décisif, puisque la formation philippiste a soutenu l’initiative. Le champ de cette dernière a été élargi en commission à toutes les structures (publiques, associatives) qui accueillent des bambins, et plus seulement celles gérées par le secteur privé. Modalités à définir. La France insoumise réaliser donc une bonne opération puisqu’elle lance une nouvelle commission d’enquête alors qu’elle a déjà exercé son droit de tirage annuel par ici. Toutefois, rien ne dit que le poste clé de rapporteur de la future commission d’enquête sera attribué à LFI. Ses futurs membres en décideront. POINT SMR. Pour mieux comprendre ces start-ups sexy du nucléaire qui développent des petits réacteurs, dit SMR, mon collègue Alexandre Léchenet a enchaîné les rendez-vous hier au World Nuclear Exhibition auprès d’une dizaine d’acteurs français. Leurs attentes : Plusieurs développent pour des moyens renforcés en matière de sûreté nucléaire afin d’assurer le traitement des nombreux dossiers à venir et espèrent que la réglementation évolue avec le développement des SMR, en facilitant l’implantation de nouveaux sites. Soutien pérenne. Pour éviter « le syndrome des panneaux solaires » — où sévit un quasi-monopole chinois —, « la clé, c’est que le soutien soit de long terme », expose Nicolas Bretton, patron de Stellaria. Fils grand frère Nuward — 230 mégawatts de production électrique (MWe) par tête de série pour 2030 — est développé par EDF et se vend comme une alternative aux centrales à charbon. L’objectif est de se développer aussi bien en France, pour des besoins industriels, qu’ailleurs en Europe. Énergie circulaire. Des développeurs de SMR font le pari de la fermeture du cycle du combustible. En gros, ils espèrent réutiliser les déchets nucléaires existants tout en produisant très peu. C’est le cas de Stellarie — 250 mégawatts de production de chaleur (MWth) et 150 MWe par prototype pour 2031 — ou Naarea — 80 MWth, 40 MWe et un prototype pour 2027 qui tient dans un conteneur. D’encore plus petits réacteurs sont imaginées par Jimmy — 20 MWth et tête de série pour 2026 —, lequel veut proposer de la chaleur industrielle avec des méthodes éprouvées ou Calogène — 30 MWth et tête de série pour 2030 —, qui imagine alimenter les réseaux de chaleur urbains et prend très peu de risques industriellement parlant, selon son patron Raphaël Gorgé. INSPECTION RÉTICULAIRE. Votre infolettre a appris que la Première ministre a confié il ya un mois une mission au Conseil général de l’économie et à l’Inspection générale du développement durable sur le développement des réseaux électriques, sur fond de stratégie bas carbone. Résultat attendu en mars. Au passage, les professionnels européens des réseaux électriques se réunissent jusqu’à demain à Paris. LES MODOS ET ZEMMOUR. Peut-on parler de la théorie conspirationniste du « grand remplacement » sur Facebook et Instagram ? C’est en substance la question que va se poser le Meta Oversight Board, un comité consultatif composé d’experts qui propose à Meta des recommandations sur la modération de contenus. À la loupe. Les experts vont examiner si Meta a eu raison de laisser en ligne une vidéo de l’ancien candidat à la présidentielle Eric Zemmour, qui s’interroge dans cet extrait sur un risque de « colonisation » de l’Europe et de la France par des populations africaines. Un certain contexte. Le Meta Oversight Board dit dans un communiqué s’être emparé de ce sujet en raison de « l’importance croissante des politiques portant sur l’immigration et les migrants lors des élections à travers le monde, et de la montée concomitante de contenus anti- migrants en période électorale ». Contacté par POLITICO, Samuel Lafont, architecte de la stratégie en ligne de Reconquête !, le parti d’Eric Zemmour, indique n’avoir pas eu de notification de cette procédure à ce stade. PAF LES PUFFS. En commission, les députés ont adopté à l’unanimité la proposition de loi transpartisane visant à interdire les fameuses puffs, au motif que ces cigarettes électroniques jetables sont une porte d’entrée à la consommation de tabac, sans oublier leur impact environnemental. Le texte sera débattu dans l’hémicycle en début de semaine prochaine. Mettre le paquet. Le gouvernement soutenir cette PPL, qui s’inscrit dans le plan anti-tabac dans sa version 2023-2027 présentée hier matin, avec hausse du prix du paquet de cigarettes à 12 euros début 2025 et de nouvelles interdictions de fumer dans des lieux publics comme les plages, parcs publics ou forêts. Les lobbys du tabac ont pourtant beaucoup œuvré pour tant défendre le vapotage que les produits lucratifs à usage unique, très prisés par les jeunes consommateurs, comme nous les raisons ici. **Que ce soit la COP, à Davos, ou à l’AG de l’ONU – Global Playbook sera en coulisses. Notre nouvelle infolettre mondiale (en anglais) est à l’écoute des personnes les plus influentes aux événements politiques mondiaux où il se rassemble pour vous livrer chaque détail. Inscrivez-vous gratuitement dès aujourd’hui.** PARCOURS DERNIÈRE. Clap de fin pour la saga judiciaire d’Uber en France : la Cour de cassation a confirmé hier la culpabilité d’Uber pour pratique commerciale trompeuse et complicité d’exercice illégal de l’activité de taxi, concernant son service Uber Pop. Le feuilleton remonte à 2015, date à laquelle Uber avait mis fin à son service qui mettait en relation des chauffeurs, simples particuliers, avec des clients. — Cession à Kretinsky : Atos…
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