Customize this title in frenchIl est acceptable d’interdire le port de symboles religieux au travail, selon la Cour suprême de l’UE

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La plus haute juridiction de l’UE a statué mardi qu’une administration publique peut interdire à son personnel de porter visiblement tout signe révélant des convictions philosophiques ou religieuses, afin de créer un « environnement administratif neutre ».

« Une telle règle n’est pas discriminatoire si elle est appliquée de manière générale et indiscriminée à l’ensemble du personnel de cette administration et se limite à ce qui est strictement nécessaire », a déclaré la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), selon un communiqué de presse. communiqué publié mardi.

Le jugement fait référence au cas d’une femme de la commune d’Ans en Belgique qui a porté plainte devant un tribunal local, affirmant que sa liberté de religion avait été violée et qu’elle avait été victime de discrimination après qu’on lui ait interdit de porter le foulard islamique. sur son lieu de travail. Après la décision relative au port du foulard, la municipalité a modifié ses conditions d’emploi pour interdire à tous les travailleurs de porter des signes manifestes d’appartenance idéologique ou religieuse.

Un tribunal de Liège a demandé au plus haut tribunal si cette règle de stricte neutralité imposée par la commune constituait une discrimination contraire au droit de l’UE.

La règle « peut être considérée comme objectivement justifiée par un objectif légitime », a déclaré le tribunal, mais a ajouté qu’une politique inverse autorisant le port de symboles religieux serait également justifiée.

« Chaque État membre, et tout organisme infra-étatique dans le cadre de ses compétences, dispose d’une marge d’appréciation pour concevoir la neutralité du service public qu’il entend promouvoir sur le lieu de travail, en fonction de son propre contexte », a déclaré la Cour. .

Le tribunal a ajouté : « Cependant, cet objectif doit être poursuivi de manière cohérente et systématique, et les mesures adoptées pour y parvenir doivent être limitées au strict nécessaire. Il appartient aux juridictions nationales de vérifier que ces exigences sont respectées.

En octobre de l’année dernière, le tribunal de l’UE a également statué que les lois internes d’un employeur interdisant le port visible de tout signe religieux, philosophique ou spirituel au travail ne constituent pas une discrimination directe, dans un litige entre une femme musulmane et une entreprise belge au sujet de son foulard. politique.



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