Customize this title in frenchJoe Biden reconnaît enfin que la « crise humanitaire à Gaza » est une priorité

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Le président Joe Biden a reconnu vendredi la « crise humanitaire à Gaza » qui a suivi après qu’Israël ait coupé l’électricité et l’eau et lancé une campagne de bombardements aériens massifs, en réponse à l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre qui a fait plus de 1 200 morts. .

Avant un discours à Philadelphie sur le financement par son administration de projets d’énergies renouvelables, Biden a de nouveau dénoncé les attaques du Hamas tout en reconnaissant enfin la crise en cours à laquelle la population de Gaza est confrontée.

« C’est également une priorité pour moi de répondre de toute urgence à la crise humanitaire à Gaza », a déclaré Biden. « Sous ma direction, nos équipes travaillent dans la région, notamment en communiquant directement avec les gouvernements d’Israël, d’Égypte, de Jordanie et d’autres pays arabes ainsi qu’avec les Nations Unies, pour accroître leur soutien. »

Biden a réitéré que « l’écrasante majorité des Palestiniens n’avait rien à voir avec le Hamas et les effroyables attaques du Hamas », et a reconnu qu’« ils en souffrent également ».

À la suite de l’attaque de la semaine dernière, Israël semble prêt à lancer une invasion terrestre de Gaza. Le proche allié des États-Unis a ordonné vendredi à 1,1 million d’habitants du nord de Gaza d’évacuer le sud dans les 24 heures. Les Forces de défense israéliennes dit sur les réseaux sociaux, il a déclaré qu’il avait déjà largué plus de 6 000 bombes sur Gaza.

Les organisations humanitaires et les Nations Unies ont dénoncé l’ordre d’expulsion d’Israël comme étant « impossible » à mettre en œuvre sans « conséquences humanitaires dévastatrices », selon un porte-parole de l’ONU.

Le siège israélien sur la région l’a largement privée de nourriture, d’eau, d’assainissement et d’électricité, laissant plus de 2 millions de civils sans ressources de base.

La fumée s’élève après une frappe aérienne israélienne le septième jour des affrontements à Rafah, Gaza, le 13 octobre.

Abed Rahim Khatib/Agence Anadolu via Getty Images

Avant les remarques de vendredi, Biden n’avait pas commenté publiquement la dévastation à laquelle les Palestiniens de Gaza sont confrontés en raison de la poursuite par Israël d’une guerre totale sur le territoire. Il a promis un soutien inébranlable à Israël suite à l’attaque du Hamas, a promis de signer une loi visant à financer des armes pour Israël et a refusé d’appeler publiquement à la retenue.

En effet, jeudi, la secrétaire de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré qu’il était « répugnant » que certains membres démocrates du Congrès aient appelé à un cessez-le-feu. Et vendredi, le HuffPost a obtenu une fuite d’une note interne du Département d’État décourageant les diplomates d’utiliser les termes « désescalade/cessez-le-feu », « fin de la violence/effusion de sang » et « rétablissement du calme » dans les documents de presse.

Les commentaires de Biden reconnaissant enfin la crise humanitaire font suite à une vague de rhétorique incendiaire de la part des dirigeants israéliens promettant une punition collective contre la population de Gaza.

« C’est toute une nation qui est responsable », a déclaré vendredi le président israélien Isaac Herzog.

L’inquiétude concernant le siège actuel de Gaza par Israël grandit au sein du parti de Biden. Vendredi, 55 démocrates de la Chambre ont envoyé une lettre à Biden exhortant son administration à prendre des mesures pour protéger les citoyens de Gaza. La lettre énonçait cinq priorités, notamment exhorter Israël à obéir au droit international ; rétablir l’approvisionnement en nourriture, en eau et en électricité ; établir un corridor humanitaire; décourager publiquement les crimes haineux contre les Arabes, les musulmans et les Palestiniens ; et veiller à ce que tout projet de loi finançant des armes pour Israël fournisse également une aide humanitaire aux Palestiniens.

« Imposer un siège complet à Gaza et priver 2,3 millions de civils palestiniens qui n’ont nulle part où aller – dont la moitié sont des enfants – de nourriture, d’eau et d’électricité, serait une violation du droit humanitaire international », peut-on lire dans la lettre des démocrates.



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