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Le groupe terroriste État islamique a lancé l’année dernière une importante campagne de recrutement pour déployer des militants basés dans les pays d’Asie centrale, dont le Tadjikistan, ont indiqué les services de renseignement occidentaux et autres. Trois des quatre terroristes présumés arrêtés par les forces de sécurité russes pour l’attaque contre une salle de concert de Moscou – la pire attaque terroriste en Russie depuis des décennies – seraient des ressortissants tadjiks.
L’un des trois est même entendu parler tadjik lors de l’interrogatoire de quatre agresseurs présumés détenus par les forces de sécurité russes.
L’État islamique a revendiqué l’attaque de Moscou, qui a tué environ 140 personnes, et l’a qualifiée de « coup puissant contre la Russie ». Le groupe a également publié des images qui semblent avoir été prises par des assaillants alors qu’ils ouvraient le feu sur des spectateurs à Moscou la semaine dernière.
Selon les renseignements partagés avec les Nations Unies, au cours des 12 derniers mois, la branche de l’État islamique basée en Afghanistan, l’État islamique (Khorasan) a recruté des militants de haut niveau de Jamaat Ansarullah, un groupe islamiste extrémiste du Tadjikistan, ainsi que d’autres dans le centre. Asie.
La province de l’État islamique du Khorasan (ISKP) a également créé une chaîne Telegram et utilisé plusieurs autres plateformes de médias sociaux pour diffuser de la propagande visant à recruter des Tadjiks et d’autres ethnies d’Asie centrale dans la région.
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Le rapport, soumis au Conseil de sécurité de l’ONU en janvier, fait état d’une « forte concentration de groupes terroristes en Afghanistan » et précise que « malgré une diminution du nombre d’attaques perpétrées par Isil-K [ISKP] et sa récente perte de territoire, ses pertes et son taux d’attrition élevé parmi les dirigeants de haut niveau et de niveau intermédiaire… le groupe [is seen] comme la plus grande menace en Afghanistan, avec la capacité de projeter une menace dans la région et au-delà ».
Il ajoute que le groupe « a adopté une stratégie de recrutement plus inclusive, notamment en s’efforçant d’attirer les talibans désillusionnés et les combattants étrangers ».
(Avec la contribution des agences)