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Selon le gouvernement, la réglementation des prix de détail de l’électricité et du gaz pour les ménages, les petits consommateurs professionnels et les utilisateurs protégés et la réglementation des prix de l’électricité pour les petites et moyennes entreprises (PME) seront prolongées jusqu’à la fin de l’année.
Le régime existant aurait pris fin cet été, et l’extension aidera les ménages et les utilisateurs protégés à faire face à la crise de l’énergie et offrira aux PME un environnement stable, prévisible et compétitif, a déclaré jeudi le ministre de l’Environnement, du Climat et de l’Énergie, Bojan Kumer.
Le gouvernement a décidé de prolonger la mesure après que l’analyse du marché de gros à la fin de l’hiver ait montré des « incertitudes » justifiant une prolongation du plafonnement des prix.
Financièrement, la mesure est couverte par des crédits existants. Jusqu’à 350 millions d’euros ont été mis de côté pour indemniser les fournisseurs d’énergie, selon Kumer.
Pour les ménages, le prix maximum du mégawattheure (MWh) est fixé à 118 € pour le tarif pointe, 82 € pour le tarif heure creuse et 98 € pour le tarif journalier unique.
Pour les utilisateurs protégés, le plafond du prix de détail du gaz pour les ménages et les distributeurs de chaleur pour les familles reste à 73 € par MWh, et pour les CPAS, les crèches, les écoles primaires, les centres de santé et les petites entreprises à 79 €.
Pour les PME, le prix de détail maximum de l’électricité est plafonné à 217 € par MWh pour le tarif pointe, 155,5 € pour le tarif heures creuses et 195 € pour le tarif forfaitaire.
Il reste à voir si une régulation des prix pour les ménages et les petites entreprises est nécessaire en 2024, les prix du marché étant toujours supérieurs aux prix plafonnés. Kumer s’attend à ce qu’une stratégie de sortie soit élaborée dans un mois ou deux.
La situation est toutefois différente pour les PME, car les prix de gros actuels sont inférieurs aux prix qu’elles ont payés lors de la conclusion des contrats l’année dernière. Le gouvernement souhaite que les PME n’aient plus besoin de réglementation des prix l’année prochaine.
(Eva Horvat | sta.si)