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Fabrice Leggeri, l’ancien patron de l’agence européenne des frontières Frontex qui se présentera pour le Rassemblement national d’extrême droite aux élections européennes, a critiqué la politique migratoire européenne lors d’une visite à la frontière franco-italienne lundi 19 février, affirmant que l’Europe devrait « reprendre le contrôle » de ses frontières ».
Leggeri, l’ancien chef de l’agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, a annoncé samedi 17 février qu’il rejoignait la liste du Rassemblement national pour les élections européennes.
Lundi, Leggeri a effectué son premier déplacement en tant que candidat à Menton, une ville du sud de la France située à la frontière italienne, avec Jordan Bardella, président du Rassemblement national et tête de liste du parti pour les élections européennes.
« Je rejoins la liste de Jordan Bardella parce que je souhaite que la France et l’Europe reprennent le contrôle de leurs frontières. Frontex a été détournée par la Commission européenne et nous devons lui redonner son rôle de garde-frontière », a déclaré Leggeri au poste frontière de Menton.
Leggeri, qui a dirigé Frontex de 2015 à 2022, est régulièrement accusé par des ONG de tolérer le refoulement illégal de migrants. Selon le journal allemand Spiegel, il était complice de « refoulements », c’est-à-dire le rejet de migrants sans examen de leur demande d’asile.
Bardella a déclaré aux journalistes que « Frontex doit être réorienté vers une mission de protection de nos frontières et de notre civilisation, comme le voulait Fabrice Leggeri ».
Bardella écrit à Darmanin
« Le droit européen interdit à la France de lutter contre l’immigration clandestine à ses frontières et de protéger les Français », a déclaré dimanche Bardella sur X, expliquant qu’il se rendait à Menton pour interroger le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, à qui il avait envoyé une lettre. lettre ouverte.
Il a critiqué le gouvernement français qui, dans une décision rendue le 2 février, a mis fin au système de « non-admission » permettant de renvoyer immédiatement les immigrants clandestins dans leur pays d’origine.
En 2023, à la frontière franco-italienne, le dispositif de « non-admission » a permis de refouler 33 000 migrants sur les 44 000 individus interceptés.
« Accorder des droits supplémentaires aux individus qui souhaitent entrer illégalement dans notre pays prive les Français de leur droit collectif à vivre en sécurité », a écrit Bardella.
Depuis Menton, Bardella a posté sur X que « si Gérald Darmanin ne prend pas la décision limitant les refus d’entrée, le nombre de migrants clandestins ici à Menton, à la frontière franco-italienne, va doubler ».
Dans une interview publiée dimanche dans Le Journal du Dimanche, Leggeri a déclaré que le Pacte européen sur la migration et l’asile avait permis à la Commission européenne « d’encourager l’afflux de migrants ».
[Edited by Zoran Radosavljevic]