Customize this title in frenchL’ancien ministre français de l’Energie soutiendra le ministère de l’Agriculture

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

L’ancienne ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, a été nommée « ministre déléguée » auprès du ministère de l’Agriculture pour épauler Marc Fesneau, le ministre déjà en place, en pleine crise majeure du secteur.

Le gouvernement est sous pression pour prendre de nouveaux engagements envers les agriculteurs avant le Salon International de l’Agriculture du 24 février au 3 mars, et on espère que Pannier-Runacher pourra contribuer à renforcer la souveraineté alimentaire et la compétitivité du secteur agroalimentaire. industrie.

Pannier-Runaché « sera notamment chargé de l’aménagement écologique du secteur agricole, des questions énergétiques et notamment de la production de biomasse, des industries agroalimentaires, ainsi que de l’innovation et de la recherche », a expliqué samedi (10 janvier) le ministère de l’Agriculture. février), suite à l’annonce de jeudi dernier.

Pannier-Runacher, de son côté, a écrit sur X qu’« après cinq années consacrées au renforcement de notre souveraineté industrielle et énergétique, je consacrerai toute mon énergie à nos agriculteurs et à notre souveraineté alimentaire ». Un « ministre délégué » désigne en France l’équivalent d’un ministre adjoint en charge d’une question spécifique au sein d’un ministère.

Un gestionnaire de crise

Pannier-Runacher a rejoint le gouvernement en 2018 en tant que ministre de l’Industrie avant de devenir ministre de la Transition énergétique en 2022, dans un contexte de crise de l’approvisionnement énergétique, de hausse des prix de l’électricité et de baisse de la production du parc nucléaire français.

Son rôle au sein de l’UE consistait principalement à contribuer à parvenir à un accord sur la réforme du marché européen de l’électricité.

Elle s’est également battue pendant deux ans pour sauvegarder et imposer la vision française, fondée sur la reconnaissance des avantages du nucléaire, pour atteindre les objectifs de décarbonation de l’UE fixés dans le Green Deal.

Elle a quitté le poste de ministre de l’énergie à la suite d’un remaniement au sein du gouvernement français à la mi-janvier.

« Je quitte le ministère de l’Énergie fier des résultats que nous avons obtenus. Relance du nucléaire et des énergies renouvelables, sobriété, baisse des émissions, succès européens, COP28 : je me suis battue pour rendre la France plus forte et plus souveraine », écrivait-elle alors sur X.

Enjeux nationaux et européens

Dans ses nouvelles fonctions, elle épaulera le ministre de l’Agriculture sur des dossiers qui « font écho à ses anciennes fonctions », notamment les questions énergétiques et de production de biomasse, les industries agroalimentaires, l’innovation et la recherche.

Avant tout, comme l’a déclaré le ministre de l’Agriculture Marc Fesneau, son arrivée vise à « répondre au défi majeur d’assurer notre souveraineté alimentaire et la transition écologique ».

Le gouvernement doit avancer sur un grand « projet de loi agricole » national, qui a été maintes fois reporté et qui devrait être soumis au Parlement au printemps, selon un calendrier fixé par les agriculteurs suite aux premières mesures annoncées par le nouveau Premier ministre. Gabriel Attal le 1er février.

« Si tout cela n’est qu’un feu de paille, on recommencera », a déclaré à l’AFP Arnaud Rousseau, président du syndicat majoritaire (FNSEA), en référence aux manifestations et barrages routiers de janvier.

Il a exprimé l’espoir qu’après l’arrivée de Pannier-Runacher comme ministre déléguée, les propositions arriveraient « deux fois plus vite ».

[Edited by Angelo Di Mambro/Alice Taylor]

En savoir plus avec Euractiv



Source link -57