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Le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a condamné dimanche les meurtres « déchirants » et « totalement inacceptables » de civils palestiniens à Gaza, alors que le nombre de morts dus aux frappes israéliennes dans l’enclave a dépassé les 25 000.
« Les opérations militaires israéliennes ont provoqué des destructions massives et tué des civils à une échelle sans précédent pendant mon mandat de secrétaire général », a déclaré Guterres à l’ouverture du sommet du G77+Chine en Ouganda. Il a renouvelé ses appels à un « cessez-le-feu humanitaire immédiat pour soulager les souffrances à Gaza, permettre à l’aide humanitaire d’atteindre tous ceux qui en ont besoin et faciliter la libération des otages, qui devrait être immédiate et inconditionnelle ».
Selon le ministère de la Santé de Gaza, le bilan des Palestiniens tués dans les attaques israéliennes a dépassé les 25 000, tandis que plus de 60 000 ont été blessés depuis l’attaque surprise du Hamas le 7 octobre, au cours de laquelle les responsables israéliens affirment que plus de 1 200 nationaux et étrangers ont été tués et 240 personnes prises en otage.
Guterres a également déclaré dimanche que le refus de prendre des mesures en faveur d’une solution à deux États au Moyen-Orient était « totalement inacceptable ». Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rejeté à plusieurs reprises une solution à deux États, la semaine dernière en réponse aux pressions américaines. Les responsables israéliens ont fermement rejeté samedi les remarques du président américain Joe Biden selon lesquelles une solution à deux États pourrait encore être possible même pendant que Netanyahu est au pouvoir.
Guterres a déclaré dimanche que « le déni du droit du peuple palestinien à un État prolongerait indéfiniment un conflit qui est devenu une menace majeure pour la paix et la sécurité mondiales ».
L’UE a également fait pression sur Israël pour qu’il trouve un moyen de mettre fin au conflit dans la bande de Gaza. Le Parlement européen a appelé la semaine dernière à un « cessez-le-feu permanent » à Gaza, à condition que le Hamas libère les otages qu’il a pris lors des attaques d’octobre ainsi qu’à la démilitarisation complète de Gaza.
« La seule solution est de créer deux Etats partageant la terre pour laquelle ils meurent depuis 100 ans », a déclaré vendredi le plus haut diplomate européen, Josep Borrell, accusant ouvertement Israël d’avoir financé le Hamas. L’UE, quant à elle, s’apprête à annoncer lundi de nouvelles sanctions visant à freiner le financement du groupe militant.