Customize this title in frenchLe chef des puissants paramilitaires soudanais pose les conditions de l’intégration

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLe commandant de la force paramilitaire la plus puissante du Soudan a tacitement fixé dimanche les conditions de l’intégration de ses hommes dans les forces armées, affirmant que le processus doit être exempt de politique et se dérouler principalement à huis clos.Le général Mohamed Dagalo a également souligné l’engagement de ses Forces de soutien rapide dans la transition démocratique du pays, affirmant qu’il s’agit d’un choix stratégique que lui et sa force n’abandonneront pas.Le général Dagalo s’exprimait dimanche lors du lancement des pourparlers sur la manière de placer les RSF sous le contrôle de l’armée dans le cadre d’une réforme en profondeur des forces militaires et de sécurité.Les pourparlers sont la phase finale des efforts visant à finaliser un accord pour une nouvelle transition menant à des élections.Les pourparlers entre l’armée et une grande coalition pro-démocratie – Forces pour la liberté et le changement FFC – font suite à un accord préliminaire en décembre entre les deux parties pour restaurer la transition démocratique du Soudan près de quatre ans après la destitution du dictateur Omar Al Bashir.L’accord de décembre prévoit un gouvernement dirigé par des civils pour diriger le pays pendant 24 mois jusqu’à la tenue des élections. Il stipule également que l’armée, qui a pris le pouvoir lors d’un coup d’État en octobre 2021, quitte la politique.Déjà, les 6 et 11 avril ont été fixés comme dates pour la déclaration d’un nouvel accord et la mise en place d’un gouvernement dirigé par des civils. »Les réformes militaires et sécuritaires ne sont pas une entreprise politique et ne doivent pas être soumises à un agenda politique », a déclaré le général Dagalo aux participants au début des pourparlers. »C’est un effort nationaliste lié aux intérêts suprêmes de la nation. »Rappelant aux auditeurs que le RSF a été légalisé en 2013, il a déclaré que la réforme doit être accompagnée d’une législation et faire partie des réformes globales de toutes les institutions de l’État. »Il n’y a pas de place pour le bruit, les chants et les slogans dans ce processus technique complexe et sensible, dont de nombreuses parties doivent être traitées à huis clos », a déclaré le général Dagalo.« Les Forces d’Appui Rapide ont et seront sans équivoque engagées dans le choix de la transition démocratique.Il a déclaré que les RSF avaient refusé de rejoindre les forces de sécurité qui avaient tenté d’écraser les manifestations de rue anti-Bashir en 2018 et 2019, ce qui avait forcé l’armée à renverser l’ancien dictateur en avril 2019.Assimiler les RSF aux forces armées et placer les agences militaires et de sécurité sous contrôle civil ont été les principales revendications du mouvement pro-démocratie.Ses partisans ont organisé de nombreuses manifestations contre l’armée depuis le coup d’État de 2021.Le chef de l’armée soudanaise, le général Abdel Fattah Al Burhan. AFP L’intégration proposée de RSF a été une question controversée entre le général Dagalo et le chef de l’armée et chef du coup d’État, le général Abdel Fattah Al Burhan.Le général Dagalo a déclaré son attachement au principe d’une « armée unique » mais n’a pas accepté sans équivoque l’intégration de RSF dans ses commentaires publics.Le général Al Burhan a déclaré qu’il ne signerait pas un accord politique qui n’indique pas clairement et ne donne pas de calendrier pour l’intégration de la RSF dans les forces armées.La tension entre l’armée et les RSF s’est accrue ces dernières semaines, poussant les troupes de la capitale Khartoum à passer en état d’alerte maximale.Les hommes aguerris et bien armés de RSF sont postés à Khartoum depuis 2019.S’adressant aux pourparlers de dimanche, le général Al Burhan a décrit la réforme des agences militaires et de sécurité comme un « processus long et compliqué » qui ne serait pas facile à gérer. »Nous voulons construire une force armée qui s’engage à suivre les mesures des gouvernements démocratiques », a-t-il déclaré, promettant que l’armée ne serait pas un obstacle à la transition démocratique du Soudan.Le Soudan a été gouverné par l’armée pendant la majeure partie des près de 70 ans depuis l’indépendance en 1956, prenant le pouvoir lors de coups d’État qui ont renversé des gouvernements librement élus mais dysfonctionnels.Le Soudan a également été en proie à de longues guerres civiles dans son sud et son ouest, épuisant les ressources du pays et approfondissant ses divisions ethniques et religieuses.Le coup d’État du 25 octobre 2021 a aggravé les difficultés économiques du pays, lorsque les bailleurs de fonds occidentaux du Soudan ont suspendu des milliards de dollars d’aide et d’annulation de la dette.Ils disent que ce n’est que lorsqu’une transition démocratique crédible sera restaurée qu’ils recommenceront à aider la vaste nation sous-développée.La prise de pouvoir a également créé un vide dans les régions périphériques du Soudan à l’ouest et au sud, avec des affrontements ethniques et tribaux faisant des centaines de morts et des dizaines de milliers de déplacés.Mis à jour: 26 mars 2023, 22h33 !function(f,b,e,v,n,t,s) {if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(‘script’);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.appendChild ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘797427810752825’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

Source link -57