Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Le plus grand parti bulgare, le GERB, s’est retiré des négociations pour former un nouveau gouvernement, malgré un accord antérieur avec le PP-DB pour nommer l’ancienne commissaire européenne Maria Gabriel au poste de Premier ministre, a annoncé dimanche le parti.
Les deux principales formations politiques du pays s’étaient mises d’accord pour remplacer l’actuel Premier ministre Nikolaï Denkov (Renew Europe, PP-DB) par Maria Gabriel (PPE, GERB), dans le cadre d’un changement de gouvernement sans précédent pour la Bulgarie, mais cela semble avoir échoué.
Cela signifie que la Bulgarie se dirige vers ses sixièmes élections générales en trois ans, provoquant une instabilité politique qui pourrait nuire aux efforts du pays pour rejoindre la zone euro et devenir membre à part entière de l’espace Schengen.
« Tout est fini. Après les élections, nous reprendrons (les négociations) », a annoncé Denitsa Sacheva, de l’équipe de négociation du GERB, après la fin des négociations dimanche. Le parti a annoncé qu’il se retirait des négociations avec le PP-DB, invoquant des différends sur le contrôle politique de certains ministères.
« Il est grand temps que ce chantage politique exercé contre notre parti cesse », a commenté Denitsa Sacheva, soulignant que le « chantage » venait du PP-DB.
Gabriel affirme que le GERB et le PP-DB ne divergent pas sur les grands sujets liés à la gouvernance du pays – la lutte contre la corruption, la réforme des services de sécurité et la réforme judiciaire.
Dimitar Ganev, politologue de l’agence sociologique Trend, a estimé dimanche que les élections législatives anticipées devraient être combinées avec celles du Parlement européen.
Si cela ne se produit pas, la participation électorale sera très faible en raison de la fatigue de l’électorat bulgare.
Il a déclaré qu’après les élections, les mêmes partis devraient probablement négocier pour former un gouvernement car, pour le moment, ils n’ont pas d’alternative politique.
(Krassen Nikolov | Euractiv.bg)