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Le ministre espagnol de la Justice, Félix Bolaños (PSOE/S&D), et le vice-secrétaire à l’action institutionnelle du Partido Popular, Esteban González Pons, rencontreront à nouveau lundi à Bruxelles le commissaire européen à la Justice et médiateur Didier Reynders, pour tenter de négocier le renouvellement du Conseil général. du Pouvoir Judiciaire (CGPJ), l’organe judiciaire le plus élevé d’Espagne, qui fonctionne à titre intérimaire depuis plus de cinq ans.
La deuxième réunion entre les deux dirigeants aura lieu lundi après-midi, juste après que la Commission européenne doit publier une déclaration résumant les progrès réalisés jusqu’à présent, ont indiqué des sources de la Commission européenne au partenaire d’Euractiv, EFE.
Après la première réunion du 31 janvier, Reynders s’est montré très positif quant à « l’engagement » des deux parties à progresser dans le dialogue au point mort, marqué par un échange constant d’accusations entre le PP et le PSOE.
La Commission européenne estime qu’il est crucial de parvenir à un accord avant les élections européennes de juin prochain et a fixé mars comme date limite privilégiée pour la dernière « fumée blanche ».
Après la première réunion, Bolaños a promis de « travailler dur » avant ce qu’il avait alors qualifié de « dernière chance » de restaurer une certaine « normalité » au CGPJ, l’organe suprême des juges d’Espagne, dont le renouvellement est bloqué depuis. 2018 alors que le PSOE et le PP, principal parti d’opposition, se rejettent la responsabilité de la paralysie.
Depuis cette année-là, le CGPJ fonctionne de manière intérimaire, ce qui a nui au fonctionnement de l’ensemble du système judiciaire, avec de nombreux retards et problèmes dans la résolution de plusieurs affaires judiciaires en cours.
En janvier dernier, le gouvernement a remercié Reynders et la Commission européenne pour leurs efforts de médiation, mais le PP s’est montré très pessimiste.
Néanmoins, González Pons a assuré que la formation de droite gardait la porte ouverte au dialogue avec le PSOE.
Le 26 janvier, la Commission a accepté de jouer un rôle de médiation à la demande spécifique du gouvernement progressiste espagnol (PSOE-Sumar) et du PP.
Le délai de deux mois fixé par Bruxelles aux deux parties pour parvenir à un accord expire en mars, laissant la porte ouverte à Reynders pour lancer sa campagne à la présidence du Conseil de l’Europe le même mois, ce qui l’obligera à quitter son poste actuel. poste au sein de l’exécutif européen, au moins temporairement.
(Fernando Heller | EuroEFE.Euractiv.es)