Customize this title in frenchLe gouvernement roumain se précipite pour combler le trou budgétaire avant de perdre les fonds de l’UE

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Bucarest cherche de toute urgence de l’argent pour combler son énorme trou dans le budget car il risque de perdre des fonds européens en raison du non-respect potentiel des objectifs de déficit.

Le déficit budgétaire a atteint 2,32% du PIB au cours des cinq premiers mois, totalisant 36,91 milliards de lei (7,45 milliards d’euros), contre 1,72% du PIB – 27,35 milliards de lei (5,52 milliards d’euros) au cours des quatre premiers mois, selon le données publiées par le ministère des Finances.

Le Premier ministre Marcel Ciolacu a déclaré que la Roumanie avait pour objectif de maintenir son déficit public à 4,4 % du PIB en 2023. Dans le cas contraire, les fonds européens et la mise en œuvre des réformes dans le cadre du Plan national de relance et de résilience (PNRR) pourraient être négativement impactés.

Ciolacu ne pense pas qu’il soit « approprié de prélever de nouvelles taxes » pendant une crise économique en cours.

Comme solution potentielle, la coalition au pouvoir a évoqué la possibilité de supprimer les exonérations de cotisations santé. Actuellement, il existe des exemptions dans les secteurs de l’agriculture et de la construction. De plus, il n’y a pas d’impôt sur le revenu dans le secteur informatique.

Cependant, Ciolacu a exclu la suppression des facilités fiscales dans l’informatique. D’autre part, il a déclaré que la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et la Commission européenne recommandent depuis des années à la Roumanie d’abroger les incitations fiscales.

Le gouvernement envisage également d’augmenter les droits d’accise sur le sucre, l’alcool et le tabac.

La seule suppression de ces installations est insuffisante.

Ionut Stroe, le porte-parole des libéraux, suggère de mettre en œuvre d’autres mesures telles que l’amélioration des efforts de collecte des impôts et l’imposition de redevances plus élevées sur les produits de luxe ou de vice.

L’ancien Premier ministre Theodor Stolojan plaide pour la suppression de tous les avantages fiscaux.

(Cătălina Mihai | EURACTIV.ro)

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