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Le Kosovo a fait un pas vers l’adhésion au Conseil de l’Europe lundi, au milieu d’une opposition farouche de la Serbie.
Selon l’AFP, le Comité des ministres du Conseil de l’Europe a « transmis pour avis » la demande d’adhésion du Kosovo à son Assemblée parlementaire, mais on ne sait pas quand ce verdict sera rendu.
Le Conseil de l’Europe est une organisation internationale fondée après la Seconde Guerre mondiale pour protéger les droits de l’homme, la démocratie et l’État de droit en Europe.
Il a établi la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH), qui protège les droits de chaque citoyen dans les 46 États qui l’ont signée.
La ministre des Affaires étrangères du Kosovo, Donika Gërvalla-Schwarz, a salué la décision en déclarant sur Facebook que leur candidature avait été approuvée à la majorité des deux tiers.
« Pour notre nouvel Etat, la décision d’aujourd’hui marque une étape historique, peut-être la plus importante depuis notre indépendance », a-t-elle déclaré, mais a averti que le processus d’adhésion restait « long et difficile ».
Le Kosovo a obtenu son indépendance de la Serbie en 2008, bien que Belgrade s’oppose toujours à toute reconnaissance internationale de son ancienne province.
101 pays reconnaissent officiellement le petit État des Balkans, peuplé principalement d’Albanais de souche, comme indépendant, dont le Royaume-Uni, les États-Unis, la France et l’Allemagne.
En mai, Pristina a présenté une candidature pour rejoindre le Conseil de l’Europe, peu après l’expulsion de la Russie pour avoir envahi l’Ukraine.
La sortie de Moscou – longtemps alliée de la Serbie – a été largement considérée comme facilitant l’entrée de Pristina.
« Nous voterons contre la soi-disant adhésion du Kosovo au Conseil de l’Europe », a déclaré le président serbe Aleksandar Vucic aux journalistes.
« Ce jour restera comme un jour de honte pour le Conseil de l’Europe », a ajouté le ministre des Affaires étrangères du pays, Ivica Dacic.
Le président serbe s’est adressé aux journalistes un jour après les élections locales dans le nord du Kosovo, dominé par les Serbes, qui ont été massivement boycottées par les partis et les électeurs serbes.
En conséquence, des Albanais de souche ont été élus.
Vucic a salué le boycott du vote par les Serbes du Kosovo, affirmant qu’il représentait « un soulèvement politique pacifique ».