Customize this title in frenchLe législateur européen Cozzolino inculpé par la Belgique dans l’enquête « Qatargate »

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

Le législateur de l’Union européenne Andrea Cozzolino, qui fait l’objet d’une enquête dans le cadre d’un scandale de corruption d’argent contre influence au Parlement européen surnommé « Qatargate », a été extradé vers la Belgique et inculpé, a annoncé le parquet belge mercredi 21 juin.

L’eurodéputé socialiste, 60 ans, s’est rendu en Belgique lundi pour interrogatoire après avoir été arrêté il y a quatre mois en Italie sur mandat international.

Cozzolino avait été inculpé de corruption publique, d’organisation criminelle et de blanchiment d’argent, a indiqué le parquet belge, ajoutant qu’il avait ensuite été libéré sous « certaines conditions » dans l’attente d’une enquête plus approfondie.

Il a été libéré sous surveillance après avoir été inculpé de « corruption publique, (participation à une) organisation criminelle et blanchiment d’argent », a déclaré le procureur fédéral belge.

Cozzolino, un parlementaire européen du Parti démocrate de centre-gauche italien, a nié tout acte répréhensible. Le mois dernier, l’Italie avait accepté de l’extrader vers la Belgique.

Le scandale, le plus important à secouer la politique de l’Union européenne depuis des décennies, repose sur des soupçons selon lesquels le Qatar et le Maroc ont soudoyé des politiciens, des assistants parlementaires et des organisations non gouvernementales pour influencer la prise de décision à l’assemblée de l’UE.

Le scandale de corruption du Qatargate a secoué le Parlement européen et poussé les institutions européennes à accélérer les réformes visant à freiner l’influence extérieure.

Le scandale a éclaté en décembre lorsque la police belge a arrêté plusieurs personnalités politiques et découvert plus de 1,5 million d’euros en espèces lors d’une série de perquisitions.

Le Qatar et le Maroc nient toute implication dans toute corruption.

L’enquête belge a été secouée lundi par une décision de remplacer un juge clé supervisant l’affaire pour un potentiel conflit d’intérêts.

Les médias belges ont rapporté que Michel Claise a démissionné en raison de liens commerciaux entre son fils et le fils d’un député européen dont le nom a figuré dans l’enquête.

Le procureur fédéral a déclaré qu’il s’attendait à ce que l’enquête soit terminée d’ici la fin de l’année.

En savoir plus avec EURACTIV



Source link -57