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L’armée, qui a utilisé la force pour éradiquer l’opposition à son régime, affirme que l’amnistie est pour des raisons « humanitaires ».
Les généraux du Myanmar disent avoir gracié plus de 2 000 prisonniers politiques pour marquer Wesak, une grande fête bouddhiste.
L’armée a déclaré que 2 153 personnes emprisonnées pour « incitation » seraient libérées pour des « raisons humanitaires », a rapporté mercredi Myanmar Now, citant une déclaration signée par le secrétaire du Conseil militaire, le lieutenant-général Aung Lin Dwe.
L’armée birmane a réprimé ses opposants avec une force létale et détenu des milliers de personnes depuis qu’elle a pris le pouvoir du gouvernement élu d’Aung San Suu Kyi lors d’un coup d’État en février 2021.
Les personnes accusées d’incitation risquent jusqu’à trois ans de prison.
On ne savait pas quand les prisonniers seraient libérés, mais des proches se sont rassemblés devant la prison d’Insein à Yangon, où de nombreux prisonniers politiques sont détenus, dans l’espoir de leur libération. Le jour de Wesak, qui marque l’anniversaire de Bouddha, est le jeudi.
L’armée annonce souvent des amnisties pendant les grandes vacances.
Il a libéré plus de 3 000 prisonniers pour marquer le Nouvel An traditionnel le mois dernier, mais à cette occasion n’a pas spécifiquement dit que les prisonniers politiques seraient parmi ceux libérés.
La dernière amnistie est intervenue un jour après que le ministre chinois des Affaires étrangères Qin Gang s’est rendu au Myanmar et s’est entretenu avec le chef du coup d’État Min Aung Hlaing, devenant ainsi le plus haut responsable chinois à visiter le pays depuis que l’armée a pris le pouvoir il y a plus de deux ans.
Le radiodiffuseur d’État chinois CGTN a rapporté que Qin avait déclaré à Min Aung Hlaing que Pékin attachait « une grande importance » à son « amitié » avec le Myanmar, ajoutant que les deux hommes avaient convenu de « promouvoir davantage un partenariat stratégique global entre les deux pays ».
La violence déclenchée par le coup d’État n’a fait que s’intensifier ces derniers mois, une résistance armée prenant racine dans de nombreuses régions du pays et l’armée recourant à des attaques aériennes qui ont tué des civils, y compris des enfants.