Customize this title in frenchLe président sénégalais Macky Sall met fin aux spéculations et exclut une candidature à la réélection après les troubles

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Mettant fin à toutes les spéculations, le président sénégalais Macky Sall a annoncé lundi dans un discours télévisé qu’il ne se représenterait pas lors des prochaines élections prévues en février prochain. Des spéculations avaient circulé selon lesquelles Sall tenterait de prolonger son mandat, ce qui a conduit à des troubles et à la violence dans le pays depuis 2021. Les critiques ont fait valoir qu’un troisième mandat serait illégal, suscitant des inquiétudes quant à un potentiel déclin démocratique au Sénégal.

Le Sénégal a une histoire de stabilité politique et un système démocratique relativement pacifique par rapport à certains autres pays de la région.

« Il y a eu beaucoup de spéculations et de commentaires sur ma candidature éventuelle à cette élection. Le mandat de 2019 était mon deuxième et dernier mandat », a déclaré Sall, ajoutant : « ma décision, mûrement réfléchie… est de ne pas me présenter comme candidat aux élections à venir ». élection le 25 février 2024. Et ce, même si la constitution m’en accorde le droit », rapporte Reuters.

La décision de Sall apaise les craintes d’un recul démocratique

En déclarant son intention de ne pas briguer un autre mandat, l’annonce du président Sall devrait apaiser les craintes d’une régression démocratique au Sénégal.

Certains pays voisins, comme la Côte d’Ivoire et le Togo, ont déjà utilisé des modifications de leur constitution comme moyen de prolonger leur séjour au pouvoir. Les dirigeants régionaux, dont le président nigérien Mohamed Bazoum, le président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo et le président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, ont salué la décision de Sall.

Le président Bazoum a spécifiquement mentionné que cela aiderait à apaiser les tensions dans le pays.

Recherche de successeur

La décision du président Sall déclenche la nécessité de trouver un successeur pour diriger le parti au pouvoir avant les élections de février de l’année prochaine.

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Il reste incertain qui sera désigné comme candidat pour les principaux partis politiques. Les partisans du siège du parti présidentiel ont eu des réactions mitigées à son annonce, certains applaudissant sa décision tandis que d’autres ont exprimé leur tristesse. Une supportrice en larmes s’est engagée à soutenir celui que Sall désignera comme son successeur préféré.

Troubles et allégations de motivation politique

Les récents troubles au Sénégal ont été déclenchés par la condamnation du chef de l’opposition Ousmane Sonko, qui a été condamné à deux ans de prison pour des accusations liées à un viol présumé, ce qu’il nie avec véhémence. Beaucoup pensent que les accusations étaient politiquement motivées pour empêcher Sonko de se présenter aux prochaines élections.

Les manifestants, irrités par ce qu’ils considéraient comme la marginalisation des opposants par le président Sall, se sont livrés à des actes de violence tels que mettre le feu à des bâtiments et des véhicules et jeter des pierres sur la police. Les affrontements ont entraîné la mort d’au moins 16 personnes, certains rapports suggérant que les forces de sécurité ont utilisé des balles réelles contre les manifestants.

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