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DUBLIN – L’Irlande du Nord aura encore deux semaines pour relancer son gouvernement intercommunautaire en vertu d’un projet de loi britannique qui sera publié mercredi.
Le secrétaire d’Irlande du Nord, Chris Heaton-Harris annoncé Il s’agit d’une décision surprise alors que le Parti unioniste démocrate continue de lutter contre ses divisions internes sur l’opportunité d’accepter ou non le paquet proposé par le Royaume-Uni et de mettre fin à son boycott sur le partage du pouvoir à Stormont.
On s’attendait à ce que Heaton-Harris signale une prolongation plus longue, plus proche de sa précédente décision de 2023 visant à prolonger de près d’un an le délai pour la résurrection de Stormont.
Ce délai a expiré le 18 janvier et Heaton-Harris propose désormais de repousser le jour J pour la décision du DUP au plus tard le 8 février, soit dans à peine deux semaines.
Ce délai étonnamment serré semble destiné à faire pression sur le chef du DUP, Jeffrey Donaldson, pour qu’il prenne sa décision longtemps retardée et qu’il affronte enfin les partisans de la ligne dure du principal parti unioniste d’Irlande du Nord, un participant légalement essentiel au fonctionnement de tout gouvernement Stormont.
Heaton-Harris s’attendait à ce que Donaldson déménage le mois dernier lorsque le Royaume-Uni lui a offert, ainsi qu’à d’autres dirigeants de partis locaux, une augmentation de financement conditionnelle de 3,3 milliards de livres sterling pour relancer Stormont. Il comprendrait 584 millions de livres sterling pour payer les augmentations de salaire en souffrance des travailleurs du secteur public, dont 170 000 ont organisé une grève sans précédent dans toute l’Irlande du Nord la semaine dernière.
Heaton-Harris a déclaré que le projet de loi d’Irlande du Nord (formation exécutive) en cours d’introduction et qui devrait passer toutes les étapes des Communes mercredi ne comporterait qu’une seule clause – « pour prolonger la période pendant laquelle Stormont peut légitimement revenir jusqu’au 8 février ».
« Je suis déterminé à restaurer la décentralisation et des progrès significatifs ont été réalisés vers cet objectif », a-t-il déclaré. « Je crois que ce projet de loi, avec des délais contraints, sera suffisant. »
Donaldson, un politicien exceptionnellement prudent déterminé à éviter si possible une division dommageable dans les rangs du parti, a réuni vendredi les 12 hauts responsables de son parti pour discuter du paquet proposé par le Royaume-Uni, mais a ensuite annoncé, contre toute attente, qu’aucun vote n’avait eu lieu.
Donaldson veut l’unanimité parmi la douzaine d’officiers, un objectif peu probable. Une minorité de ces officiers ont déjà rejeté catégoriquement l’accord proposé par le Royaume-Uni, principalement parce qu’il ne parvient pas à supprimer le régime post-Brexit de contrôles et de restrictions sur les marchandises britanniques arrivant dans les ports d’Irlande du Nord.
Depuis octobre, l’examen minutieux exigé par l’UE sur les marchandises arrivant a été réduit, mais pas supprimé, par l’accord-cadre de Windsor entre le Royaume-Uni et l’UE, un accord conclu spécifiquement pour persuader le DUP de mettre fin à son sabotage du partage du pouvoir en Irlande du Nord.