Customize this title in frenchL’envoyé spécial de l’ONU pour le Myanmar démissionne (porte-parole en chef de l’ONU)

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Nations Unies (États-Unis) (AFP) – L’envoyée spéciale des Nations unies pour le Myanmar quittera ses fonctions en juin, a déclaré mercredi à l’AFP un porte-parole du chef de l’ONU, après un mandat de 18 mois au cours duquel elle a été critiquée par la junte et ses opposants.

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Le Myanmar est en ébullition depuis que l’armée a pris le pouvoir en février 2021, mettant fin à une brève expérience démocratique et déclenchant des affrontements avec des groupes ethniques rebelles et des combattants anti-coup d’État.

Les efforts diplomatiques menés par l’ONU et le bloc de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN) pour résoudre la crise n’ont jusqu’à présent pas réussi à endiguer l’effusion de sang déclenchée par le coup d’État.

Noeleen Heyzer, qui a été nommée émissaire par le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres en octobre 2021, « terminera sa mission le 12 juin » à la fin de son contrat, a précisé Stéphane Dujarric.

Guterres « est reconnaissant à Mme Heyzer pour ses efforts inlassables au nom de la paix et du peuple du Myanmar », a déclaré le porte-parole, ajoutant qu’un nouvel envoyé serait nommé.

Heyzer, un sociologue singapourien, a été chargé d’exhorter la junte birmane à engager un dialogue politique avec ses opposants et à mettre fin à la répression sanglante qu’elle a lancée après avoir renversé le gouvernement d’Aung San Suu Kyi.

Elle s’est rendue dans ce pays d’Asie du Sud-Est en août dernier et a rencontré le chef de la junte Min Aung Hlaing et d’autres hauts responsables militaires dans un geste critiqué par les groupes de défense des droits comme donnant une légitimité aux généraux.

Mais elle s’est vu refuser une rencontre avec la figure de proue de la démocratie détenue Aung San Suu Kyi et a ensuite irrité les responsables de la junte qui l’ont accusée d’avoir publié une « déclaration unilatérale » sur ce qui avait été discuté.

Plus tard, elle a juré de ne plus visiter le pays à moins d’être autorisée à rencontrer Suu Kyi, qui a depuis été emprisonnée pour un total de 33 ans par un tribunal à huis clos de la junte.

repoussé

Soutenus par les principaux alliés et fournisseurs d’armes que sont la Russie et la Chine, les généraux ont repoussé plusieurs tentatives de relancer le dialogue avec les opposants à son putsch.

L’ancienne envoyée spéciale de l’ONU, la diplomate suisse Christine Schraner Burgener, a été empêchée par la junte de se rendre dans le pays et a été la cible de critiques régulières dans les médias soutenus par l’État du Myanmar.

Le ministre cambodgien des Affaires étrangères et envoyé de l’ASEAN pour le Myanmar, Prak Sokhonn, s’est rendu deux fois au Myanmar, mais les deux fois, l’armée lui a refusé les visites avec Suu Kyi.

Plus de 3 500 personnes ont été tuées dans la répression militaire depuis le coup d’État, selon un groupe de surveillance local.

Plus d’un million de personnes ont été déplacées par la violence, selon les Nations Unies.

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