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L’interdiction ne sera levée que le samedi 15 juillet et fait suite à près d’une semaine d’émeutes nationales déclenchées par la fusillade par la police d’un jeune de 17 ans à Paris.
La France a interdit la possession, le transport et la vente de feux d’artifice avant les célébrations du 14 juillet, craignant de nouveaux troubles.
La fête nationale du pays qui commémore la prise de la forteresse de la Bastille à Paris en 1789 – qui a conduit à la fin du règne absolu et au début de la Révolution française – est traditionnellement marquée chaque année par des défilés et des feux d’artifice.
Cependant, le gouvernement du président Emmanuel Macron a pris un décret interdisant l’utilisation d’articles pyrotechniques et de feux d’artifice pour prévenir « les risques de troubles graves à l’ordre public ».
Cette décision fait suite à six jours d’émeutes déclenchées par la fusillade d’un adolescent lors d’un contrôle de police de routine à Nanterre, Paris, fin juin.
Le meurtre de Nahel, 17 ans, d’origine algérienne, a fait place au pire cas de violence urbaine depuis 2005 et a ravivé les frustrations refoulées liées aux allégations de racisme systémique, de chômage et d’inégalités sociales.
Le Premier ministre Elizabeth Bourne a déclaré que c’étaient des « jours sensibles ».
Près de 4 000 personnes ont été arrêtées à travers le pays après la mort de Nahul, de nombreux bâtiments et véhicules publics et privés ont été vandalisés et des feux d’artifice ont été cités par la police comme l’arme de choix de nombreux jeunes qui ont participé aux manifestations.
Les autorités affirment que l’interdiction n’affectera pas les feux d’artifice municipaux officiels.