Customize this title in frenchLes conservateurs au pouvoir en Grèce sont en tête dans les sondages, mais le deuxième tour est probable

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ATHÈNES – Le parti conservateur au pouvoir en Grèce était en tête lors des élections de dimanche, selon les premiers sondages à la sortie des urnes, mais un deuxième tour de scrutin national est le scénario le plus probable.

Le Parti Nouvelle Démocratie du Premier ministre Kyriakos Mitsotakis détenait une avance significative sur son principal rival, le parti de gauche Syriza, selon les premiers sondages à la sortie des urnes publiés conjointement par six agences de sondage après la clôture des scrutins. Jusqu’à sept partis étaient susceptibles de franchir le seuil de 3% et d’entrer au parlement, selon les projections.

Néanmoins, la Nouvelle Démocratie n’a pas recueilli suffisamment de voix – 45 % – pour remporter une majorité absolue, car ces élections se déroulent dans le cadre d’un nouveau système de représentation proportionnelle.

Même si un gouvernement de coalition serait possible, Mitsotakis n’a pas caché qu’il préférerait un gouvernement majoritaire et tiendrait jusqu’au second tour de scrutin, alors qu’il est en passe d’obtenir la majorité absolue grâce à un système qui accorde au parti vainqueur jusqu’à 50 sièges bonus au parlement.

Cela signifie que les Grecs se rendront probablement à nouveau aux urnes début juillet.

Jusqu’à huit partis étaient susceptibles de franchir le seuil de 3 % et d’entrer au parlement.

La Nouvelle Démocratie devait passer de 37,5 % à 41,5 % ; Syriza de 23,5 % à 27,5 % ; Parti socialiste Pasok 11,5 % contre 12,5 % ; Parti communiste KKE 6,5 % à 7,5 % ; solution grecque nationaliste 4,3 % à 5,3 % ; le gauchiste DiEM 25 de 2,5 % à 3,5 % ; gauchiste Course of Freedom 2,5 % à 3,5 % ; et le parti nationaliste de la Victoire de 2,5 % à 3,5 %.

Le taux de participation était de 48,8% à 16h30, a rapporté le ministère de l’Intérieur.

Mitsotakis est apparemment sorti indemne des quatre dernières années de son mandat de premier ministre, bien qu’il soit accablé par un scandale d’espionnage, une inflation galopante et des inquiétudes croissantes concernant l’état de droit.



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