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La réunion informelle réunira des responsables américains de la sécurité et des représentants des pays plus tard cette semaine.
De hauts responsables américains rencontreront des représentants de plusieurs pays qui n’ont pas encore condamné l’invasion russe de l’Ukraine plus tard cette semaine au Danemark.
Le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, rencontrera des responsables de l’Inde, du Brésil et de l’Afrique du Sud – des pays qui ont refusé de suivre les sanctions occidentales contre la Russie.
Des responsables chinois et turcs pourraient également assister à la réunion, selon le Financial Times.
Sullivan sera accompagné de Victoria Nuland, un autre haut fonctionnaire du département d’État américain et un haut fonctionnaire de l’UE. Malgré une participation notable, la réunion se déroulera de manière informelle, ont indiqué des sources à FT.
« Nous travaillons pour plaider en faveur de leur [Ukraine’s] nom avec un plus large éventail de pays que ceux qui se présentent à l’OTAN … ou au G7 », a déclaré Sullivan plus tôt cette semaine.
Le principal assistant de Joe Biden s’envolera pour Copenhague après la conclusion de la visite diplomatique du Premier ministre indien Narendra Modi aux États-Unis.
Cette décision fait suite à l’insistance de Kiev à étendre le soutien pro-ukrainien, reconnaissant que la contre-offensive avait été « plus lente que prévu ».
Aucun des pays en développement invités à Copenhague pour la réunion n’a condamné la guerre d’agression russe contre l’Ukraine.
La réunion de Copenhague discutera des solutions potentielles pour la résolution des conflits, sans pousser pour un résultat concret.
Alors que le commerce russo-chinois a augmenté dans les mois qui ont suivi l’invasion, l’Inde est également devenue un allié commercial majeur du Kremlin.
Pékin a publié un projet de plan de paix en 12 points en février, mais les alliés de l’Ukraine l’ont largement rejeté, insistant sur le fait que les forces de Poutine doivent se retirer et faire face à des poursuites pour crimes de guerre.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a blâmé les deux pays pour la guerre, refusant de condamner Vladimir Poutine.
D’autres pays ont également continué à aider la Russie à des degrés divers, notamment la Turquie – membre de l’OTAN – agissant en tant que médiateur entre les deux forces belligérantes.