Customize this title in frenchLes forces israéliennes prennent d’assaut l’hôpital Nasser de Gaza au milieu des tensions croissantes avec le Hezbollah

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Tous les derniers développements de la guerre entre Israël et le Hamas.

Les forces spéciales israéliennes prennent d’assaut l’hôpital Nasser de Gaza

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Les troupes israéliennes sont entrées jeudi dans le principal hôpital du sud de Gaza dans le cadre de ce que l’armée a qualifié d’opération limitée visant à rechercher les derniers otages pris par le Hamas.

Un patient a été tué et sept blessés lorsque l’hôpital Nasser de Khan Younis, dans le sud du pays, a été la cible de tirs mercredi, selon le Dr Khaled Alserr, chirurgien de l’hôpital.

Israël accuse depuis longtemps le Hamas d’utiliser des hôpitaux et d’autres structures civiles pour protéger ses combattants. Les critiques affirment qu’il existe peu de preuves pour étayer cette affirmation.

Les hôpitaux ne devraient pas être attaqués en vertu du droit international humanitaire.

L’armée israélienne a déclaré qu’elle disposait de « renseignements crédibles » selon lesquels le Hamas avait retenu des otages à l’hôpital et que les autres prisonniers pourraient encore s’y trouver, mais elle n’a pas encore fourni de preuves permettant une vérification indépendante.

Le raid a eu lieu alors que les gouvernements du monde entier ont averti qu’Israël ne devrait pas attaquer la ville méridionale de Rafah, où plus d’un million d’habitants de Gaza se seraient réfugiés.

Les forces israéliennes ont ordonné aux civils de fuir vers la ville frontalière égyptienne, qui, selon Israël, est le dernier bastion du Hamas, mais n’ont pas encore présenté de plan d’évacuation.

Les négociations sur un cessez-le-feu à Gaza semblent être au point mort et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’est engagé à poursuivre l’offensive jusqu’à ce que le Hamas soit détruit et que les otages soient rendus.

Israël porte plainte après que le Vatican ait dénoncé le « carnage » à Gaza

Israël a officiellement porté plainte après qu’un haut responsable du Vatican ait parlé de « carnage » à Gaza et de ce qu’il a qualifié d’opération militaire israélienne disproportionnée suite aux attaques du Hamas du 7 octobre.

L’ambassade d’Israël auprès du Saint-Siège a qualifié de « regrettables » les propos du cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Vatican. Dans un communiqué publié mercredi, l’ambassade a déclaré que Parolin n’avait pas pris en compte ce qu’elle appelle les faits pertinents pour évaluer la légitimité des actions d’Israël.

S’exprimant lors d’une réception mardi, Parolin a condamné les attaques du Hamas contre Israël le 7 octobre et toutes les formes d’antisémitisme. Mais il a remis en question l’affirmation d’Israël selon laquelle il agissait en état de légitime défense en infligeant un « carnage » à Gaza.

« Le droit d’Israël à la légitime défense a été invoqué pour justifier que cette opération est proportionnelle, mais avec 30 000 morts, ce n’est pas le cas », a-t-il déclaré.

Israël s’est déjà opposé à la position du Vatican sur la guerre, notamment lorsque le pape François a parlé de « terrorisme ».

Le pape, qui s’adresse quotidiennement par vidéoconférence à une paroisse de Gaza abritant des civils palestiniens, a depuis tenté d’être plus équilibré dans ses commentaires et a récemment écrit une lettre au peuple juif réaffirmant la relation particulière entre chrétiens et juifs.

Les frappes aériennes israéliennes sur le Liban font dix morts civils

Le bilan des victimes civiles des deux frappes aériennes israéliennes sur le sud du Liban mercredi s’est alourdi à dix, selon les médias officiels libanais.

Israël a tiré mercredi un barrage de roquettes sur des cibles proches de la ville de Nabatiyeh, quelques heures après que des projectiles venus du Liban ont tué un soldat israélien et en ont blessé huit autres.

Il s’agit du jour le plus meurtrier depuis plus de quatre mois d’échanges de tirs transfrontaliers entre Israël et le groupe militant libanais Hezbollah.

Le Hezbollah s’est engagé à riposter aux frappes de mercredi, signe d’une escalade des tensions à la frontière nord d’Israël.

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De nouvelles frappes israéliennes ont été signalées jeudi dans le sud du Liban. L’armée israélienne a déclaré que les frappes visaient les infrastructures et les postes de lancement du Hezbollah. Le Premier ministre par intérim du Liban, Najib Mikati, a condamné cette escalade.

« À l’heure où nous insistons sur le calme et appelons toutes les parties à ne pas escalader, nous constatons que l’ennemi israélien étend son agression », peut-on lire dans un communiqué de son bureau.

L’armée israélienne continuera à répondre aux attaques régulières du Hezbollah, a déclaré le porte-parole Avi Hyman du bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. « Notre message au Hezbollah a été et sera toujours le suivant : ne nous essayez pas. »

Les ministres israéliens rejettent la solution à deux États

Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a rejeté le projet de création d’un Etat palestinien, affirmant que le gouvernement actuel « n’accepterait en aucun cas » ce projet.

« Nous n’accepterons en aucun cas ce plan, qui dit en réalité que les Palestiniens méritent une récompense pour le terrible massacre qu’ils nous ont infligé : un État palestinien avec Jérusalem pour capitale », a-t-il déclaré sur la plateforme de réseau social X.

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« Le message est qu’il est très payant de massacrer des citoyens israéliens », a-t-il ajouté.

Ses appels ont été repris par le ministre d’extrême droite de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir.

« 1 400 personnes sont assassinées et le monde veut leur donner un Etat. Cela n’arrivera pas ! » il a écrit sur X.

La soi-disant solution à deux États, qui garantirait un État aux Palestiniens, est le plan soutenu par l’Occident visant à garantir une paix durable entre Israéliens et Palestiniens.

L’intransigeance et le fondamentalisme racial de nombreux membres du cabinet d’extrême droite de Benjamin Netanyahu sont considérés comme un obstacle majeur à un cessez-le-feu, ainsi qu’à la paix et à la sécurité à long terme dans la région.

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