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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a révélé que les négociations de trêve avec le Hamas avaient été interrompues en raison des demandes « délirantes » du groupe terroriste. Israël avait envoyé des négociations pour des pourparlers à la demande du président américain Joe Biden au Caire, mais ils ne sont pas revenus pour de nouvelles discussions.
Interrogé lors d’une conférence de presse sur les raisons pour lesquelles les négociateurs ne sont pas revenus à la table, Netanyahu a expliqué : « Nous n’avons rien obtenu à part des demandes délirantes du Hamas ».
Le Premier ministre israélien a déclaré que les demandes incluaient la libération de « des milliers de meurtriers » des prisons israéliennes, ainsi que des demandes concernant un lieu saint à Jérusalem, connu sous le nom de Mont du Temple dans le judaïsme et de Noble Sanctuaire dans l’Islam.
« Je voulais dire pas un millimètre, mais il n’y a pas eu un nanomètre de changement », a ajouté Netanyahu.
Les pourparlers se poursuivent depuis quelques semaines mais sans aucune avancée. Tel Aviv estime qu’un règlement ne pourrait être obtenu que par le biais de négociations directes et sans conditions préalables.
Quant à l’offensive terrestre prévue à Rafah – la ville la plus au sud de la bande de Gaza, abritant 1,4 million de Palestiniens déplacés, Netanyahu a réitéré que même si un accord de trêve était conclu, ses troupes avanceraient. Netanyahu a répliqué aux critiques en disant que ceux qui réclamaient une trêve Israël, s’il ne lançait pas d’action militaire, disait au pays de « perdre la guerre » contre le Hamas.
« Même si nous y parvenons [truce deal]nous entrerons dans Rafah », a-t-il déclaré.
À voir : Guerre Israël-Hamas : le Hezbollah affirme qu’Israël paiera « en sang » pour le meurtre de civils
Crise de Rafah et position d’Israël
Selon le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, les gens se dirigeaient en grand nombre vers Deir al-Balah, à environ 16 kilomètres au nord de Rafah, en prévision de l’attaque. Il a ajouté que la situation se détériorait rapidement dans la région.
« À Rafah, les conditions humanitaires sont devenues de plus en plus difficiles, avec des rapports continus selon lesquels des personnes arrêtent les camions d’aide pour prendre de la nourriture », a-t-il déclaré.
Israël affirme qu’il veillera à ce que la région soit évacuée avant qu’elle ne soit prise pour cible. Cependant, les experts affirment qu’il n’y a nulle part où aller en raison de l’immense dévastation laissée derrière.
Par ailleurs, la Cour internationale de Justice (CIJ) a rejeté vendredi 16 février une requête déposée par l’Afrique du Sud visant à imposer des mesures urgentes pour sauvegarder Rafah.
La plus haute juridiction de l’ONU a déclaré dans un communiqué que la « situation périlleuse » à Rafah « exige la mise en œuvre immédiate et efficace des mesures provisoires » qu’elle a ordonnées le 26 janvier.
Cependant, le tribunal a averti qu’Israël « reste tenu de respecter pleinement ses obligations au titre de la Convention sur le génocide ».
(Avec la contribution des agences)