Customize this title in frenchLes prix du pétrole prolongent leurs pertes suite au choc des stocks aux États-Unis et aux inquiétudes sur la demande

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© Reuter.

Investing.com– Les prix du pétrole ont chuté dans les échanges asiatiques jeudi, prolongeant leurs pertes après qu’une accumulation nettement plus importante que prévu des stocks américains a indiqué que les marchés étaient bien approvisionnés, tandis que les signaux de récession au Japon ont accru les inquiétudes concernant un ralentissement de la demande.

Les prix du brut ont perdu plus d’un dollar chacun mercredi après que des données ont montré que les États-Unis avaient enregistré une croissance stupéfiante de 12 millions de barils au cours de la semaine précédant le 9 février, bien au-dessus des attentes d’une production de 3,3 millions de barils.

Ce chiffre s’explique principalement par la production américaine record, ce qui indique que le plus grand consommateur de carburant au monde reste bien approvisionné en pétrole.

Même si les stocks d’essence et de distillats ont diminué, cette baisse a été largement attribuée aux arrêts prolongés des raffineries, dus aux activités de maintenance. La demande américaine de carburant s’est affaiblie ces derniers mois en raison de conditions météorologiques défavorables et de pressions économiques croissantes dues à une inflation et des taux d’intérêt élevés.

expirant en avril a chuté de 0,4% à 81,26 $ le baril, tandis qu’il a chuté de 0,4% à 76,03 $ le baril à 20h53 HE (01h53 GMT).

La faiblesse des données économiques alimente les inquiétudes sur la demande

Les données sur le PIB du Japon ont montré que le pays est entré de manière inattendue dans une récession technique au quatrième trimestre, dans un contexte de faiblesse persistante de la consommation privée.

Ce chiffre a été précédé par les données du quatrième trimestre publiées mercredi, qui montraient que l’activité économique dans le bloc avait peu changé après être également entrée en récession au troisième trimestre.

Les faibles chiffres économiques, associés aux indicateurs récents selon lesquels les taux d’intérêt américains resteront élevés plus longtemps en 2024, ont pris en compte les craintes que le ralentissement de l’activité économique maintienne la demande de pétrole modérée dans les mois à venir.

Une forte hausse a également pesé sur le brut, le billet vert s’échangeant près de son plus haut niveau depuis trois mois après que des données ont montré que l’inflation américaine était restée stable en janvier, donnant à la Réserve fédérale davantage d’impulsion pour maintenir les taux élevés plus longtemps.

L’Agence internationale de l’énergie devrait publier un rapport plus tard jeudi, quelques jours seulement après que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole a laissé inchangées ses perspectives concernant la demande mondiale de brut.

Pourtant, les prix du pétrole sont restés stables au cours des deux dernières semaines, aidés principalement par les inquiétudes persistantes concernant les ruptures d’approvisionnement au Moyen-Orient, après l’échec du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas.

Un récent rapport de Reuters a également montré que les mesures prises par la Chine, les États-Unis et la zone euro pour reconstituer leurs réserves souveraines épuisées pourraient apporter un certain soutien aux prix du pétrole dans les mois à venir.

Une réunion prévue pour mars est désormais au centre des préoccupations, notamment pour évaluer si le cartel maintiendra ses réductions de production à court terme.

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